Jardin du calme ordinaire.

Depuis combien de temps aimait-elle a en perdre jusqu'à la folle envie de vivre? Bien longtemps? quelques jours qu'elle ne comptait plus depuis peu. Des années, avec des échec troublan de ce qu'ils étaient: les frasques du temps sur les souvenirs invieillis. Elle ce sentait envahi par le calme d'antant cette douceur qu'on oublie lorsque l'on brûle. On ne change jamais, une âme ne ce modifie pas. La sienne hurlait ce besoin d'amour calme serein et paisible, comme autre fois. Alors que les remous de l'amour d'Inwë n'était que vagues et vagues en succèssions. Il n'y aurait jamais de fn à celà. Le combat de sa vie, il n'en voulait pas la fin. Il lui serai trop dur à supporter. Et elle, âme en perte de ce qu'elle est, elle brûle se noyant dans un vaste océan d'amour. Sa logique remiser l'avait perdu, sauvé, perdu, sauvé, égaré. Elle n'est plus l'âme soeur ce soir seulement la femme et l'âme d'elle même criant au secours au sourire pendu avec dégoût à ses lèvres.

Et Métrixi... ? Il était le frère indispensable à sa vie, malgrés l'amour. Il ne le comprenait pas! "Je sais ce que tu veux mon ange, mais tout n'est pas toujours accessible ... même pour toi petite soeur". Il avait si souvent tord face a elle. Il aurait seulement fallu y croire comme seul lui en était capable. Des frissons parcouraient le corps d'une femme seul face au déchirant soleil. Et le vent en amant chaud, pour une fois, enportait ses craintes! Elle avait haïs la lumière pour ne pas avoir l'impression de le trahir cette amour à la peau pale et fraiche. La trahison, c'était le couteau qui entaillais son âme aujourd'hui puisqu'elle s'en était fait victime.

Le calme et la douceur.
Le son du vent et de la paix.
Le souvenir devient l'espoire.
Le soleil un frère et la lune une soeur
La voix des étoiles souffle le jour
La nuit et le temps
L'amour d'elle
L'amour de lui
Sans trahison,

Elle ne dormirait plus ou seulement lorsque seule. Pas devient elle en l'aimant lui tout comme elle aimait son frère. elle n'oublirais plus qui elle était.

La réflexion se perdait maintenant dans la nuit qu'elle arpentait avec le délice de le revoir.

La nuit renvoyait un échos, puis se taisait insouciante de ce qu'elle disait, elle commençait une phrase en peine et se laissait envahir soudainement par le plus grand silence. Elle aurait pu parler ainsi des heures durant ne faisant qu'alterner entre douleur et plénitude ne sachant ou se trouver. C'était l'histoire de ses amours savoir si leur connaissance et leurs rencontre lui procurerait plus de douleur que de joie ou plus de joie que de douleur. Les jours assombrissaient ses pensées jusqu'aux nuit douce ou il pouvait retrouvé sa destinée alors la peine s'éffasait en un regard et ne semblait pas même avoir existé un seul instant jusqu'à l'heure ou ses lèvres toucheraient les siennes il ne connaîtrait que calme et sérénité en la compagnie de la déesse, de sa déesse.

Lorsque sa cape se retournerait ce soir à l'aube du nouveau jour et ne laisserait derrière lui que la résonance pâle et froide des pas sur le pavé alors son coeur répondrait en échos à sa nouvelle douleur pire que la dernière.


Car le soleil nous sépare, car la vie nous éloigne, car nos natures nous différencie. alors je balance entre vie et mort, dans une douleur qui souhaiterait me tuer mais ne le peux pas et une joie, un espoir, un extase de pouvoir caresser d'une main sa peau à notre prochaine rencontre. Tel une âme sans vie que l'amour ne peut quitter ...


C'est assis sur un banc envahit de pénombre qu'il se répondait ainsi à lui-même. Réflexion sur réflexion. Il la savait venir, l'odeur même de sa peau envahissait le jardin, un parfum naturel qui le rendait doux, calme, ébahis, émerveillé, tant de sensation de volupté sans aucune autre raison ... des souvenirs, des souvenirs, ... une nostalgie.


* J'ai besoin de te voir montre-toi ... montre toi ... Viens, viens ... viens vers moi *


l'attente le rongeait, sa patience l'empêchait de bouger il savourait les secondes de dernières douleur avant que n'arrive le calme et la joie. Il la sentait arriver toujours plus près d'un pas a l'autre .... l,attente pourtant était si longue que se ne soit qu'un jour a l'autre il aurait du supporter les dernière secondes .. il devrait... ou était-il si ivre d'amour qu'il ne saurait ? ...


Sa silhouette se dressait maintenant dans un brave petit faisceau de lumière, son corps ne demandait qu'un pas contre son gré et il le fit, un autre sans qu'il ne puisse l'empêcher un dernier par ce qu'il avait déjà succomber et que l,amour le rendait si faible et corruptible...

Enfin il put voir le reflet brillant d'une étoile dans ses yeux.


* anako ... *


Sans qu'elle n'eût un pas de plus a faire il l'entourat tendrement de ses bras, la pressant si fort contre lui qu'elle ne pourrait s'en défaire que lorsque son coeur ne se sera apaiser par un baiser et combler par ses mots.


'' Chaque jour devient plus long quand je n'aspire qu'à te voir.Ne le sais-tu pas ? ''


La souffrance n'attendait que sa première parole ou son premier geste pour disparaître

mmm... J,étais censé écrier la ou on avait posté al derniere foismais c'est icci et il se trouve que j'ai déja écrit dans l,attente de ta réponse chewie ^^'' foutu clavier d merde qui me fait écrire tout croche..,,

je sais pas ou on allait avec ca je m'en rappelle plus ... t'aurait pas l'info par hasard?

Avec le temps comment ne pas comprendre, qu'il ne pouvait pas seulement rester auprès d'elle. Lorsqu'il partait sans un mots, elle se sentait trahis. souvent pour rien elle s'était posé la question fatidique " reviendra-t-il ?" Et pourtant elle n'avait jamais cesser de l'attendre, jamais cesser de croire qu'il reviendrait et il était toujours revenu. Cette fois elle n'avait pas douter, elle ressentait le manque de ses mots,de sa peau. Mais c'était simplement soumise à l'attente de l'amour qui reviendrait remettre le soleil qui manquait dans sa vie. Elle avait une nouvelle à lui faire part, elle devait lui dire que tout compte fait il n'était pas si mort que ça. Un sourire tranquille, lui vint au lèvre juste avant d'entendre sa voix comme un illusion dans sa tête. Il avait l'air abattu pour un de retrouvaille.

Il y avait si longtemps qu'elle attendait simplement ce moment où il là serrerait contre lui. Elle n'arriverait jamais à voir ses bras comme une véritabe prison puisque qu'ils étaient son accès privilégier à la liberté. Son coeur battait trop vite pour qu'il ne puisse ce calmer. Et il y avait une barrière de nervosité entre les mots qu'elle devrait bien finir par prononcé et sa gorge. Elle pouvait profité des bras de son mari un peu quand même avant qu'il ne deviene incontrolable ... Ses réactions pouvaient être excellente comme très mauvaise. Ils n'avaient jamais abordé le sujet et là elle était inquiète.

Elle se décida tout simplement de remettre a plus tard cette discution. Il aurait le temps de toute façon! Elle appuya simplement sa tête au creu de l'épaule d'Inwë, il était sont refuge, et depuis quelques jours elle y songeait. Elle songeait à simplement à se perdre dasn ses bras dans une infini douceur, s'appuyer la tête sur son épaule, et tout simplement lui faire confiance. Elle ne voulait pas le confronter sur ces départ trop long, trop fréquent pour son coeur. Il n'en était rien. Elle espérait seulement une parcelle de bonheur pure et elle y arrivait maintenant.

- Tu es là, je suis heureuse.

C'était là, le plus bel aveu que l'on pouvait faire. Faire don de ce que l'on est. Et étranement à cet instant elle revenait à un état près de la sérénité qu'elle combattait pourtant.Comme une secret elle tenait simplement à l'aimer plus fort sans comprendre qu'il ne pouvait en être autrement d'une f^çon ou d'une autre. Complète a l'excès pour un court moment parfait. Elle poussa un long soupire d'aise comme il lui arrivait rarement d'en poussé seule. C'est bras autour du torse d'inwë se refermèrent un peu plus fort encore. Elle resentait toute la force que pouvait avoir l'amour. Elle respirait son odeur dans ses vêtements comme si c'était la seule odeur encore réelle pour elle.

- Je t'aime Inwë, ne rallonge pas cette journée alors et reste un peu auprès de moi.

* Inwë si seulement tu savais ! *

Elle ne savait si elle devait rire ou pleurer. Elle ne savait pas plus comment faire durer le rêve alors sonr coeur s'emporta de nouveau, il battait pour deux.