La chambre

Elle ne parlait pas elle chantait de bonheur mais il lui avait fait comprendre qu'il haïssait le son des notes quelqu'elles soient! Elle n'avait pas voulu qu'il entende pourtant elle n'avait pu retenir les sons dans son coeur, sa gorge tout était sortit par intense bonheur elle n'aurais pu faire autrement.

-Est-ce si important? De toute manière je ne sais plus trop bien aller il y a bien autre chose à faire qu'à commèrer !! Tu ne crois pas!

Elle lui souriait entre deux baiser Ils ne leur laissait peu de temps pour parler perdant toute explication dans les tourbillon éffrainer de l'amour.

Il jouait toujours dans les longs fils doré de son corset il s'acharnait a les défaires tandis qu'elle a chaque toucher elle plongeait un peu plus dans les vapeurs indolente... il s'éternisait elle l'aurait bien aider mais elle savait très bien qu'il ne voudrait pas elle se livrait donc à ses mains tendres. L' atmosphère feutré s'installait pour y rester l'air était froid pourtant contrastant à la chaleur de leur corps entrelacer.

Elle continuait d'embrassé Inwë mais il avait désormait reprit le contrôle sur leurs jeux elle lui fesait entièment confiance et heureusement... En très peu de temps son corset eut tôt fait d'aller rejoindre la chemise et la ceinture d'inwë sur le plancher... Quel autre morceau suivrait? Peut importe elle ne sans souciait pas vraiment elle n'était plus qu'une marionette de l'amour dans ses jeux étrange mais haureux...

Les main d'Inwë sur elle, sa peau sur la sienne leur corps tendu à l'exès par le seul désirs d'être l'un avec l'autre comment l'expliquer autrement? De toute manière quelle sensation si réelle soit-elle ne se décrit en mots qu'en perdant de son intensité initial en perdant ses excès.

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Décidément son sourire avait un éclat moqueur. Mais il ne pouvait la contredire et elle devait s’en réjouir. Elle savait habilement détourner son attention d’ailleurs. Ce n’était peut-être pas complètement à son avantage mais il semblait bien s’en moquer. Et puisque seul façon de le faire taire semblait d’occuper ses lèvres il ne s’en plaignait pas plus dans un baisser.

S’il s’acharnait si bien à défaire ses lacets dorés il avait pourtant réussis avec une rapidité et une dextérité époustouflante. C’est bien de ses mains blanche qu’il avait tester sa patiente sur les long fils qui enchevêtrait il y avait encore de cela quelques secondes le corset.

Que restait-il encore ? Les voiles blancs de sa jupe pendaient dans le vide mais même sans l’attrait de toutes ses robes aux couleurs chatoyantes elle resterait irrésistible… C’est de cette idée que ses mains s’affairaient à l’en défaire avec lenteur. C’était sûrement un miracle que de voir véritable ses lèvres caresser son cou avec tant de passion sans jamais n’oser véritablement et toucher. De peur de s’y laisser emporter tout comme d’une envie irrésistible il aurait pu la mordre.

Une peau si douce si belle, si blanche et si parfaite, il ne pouvait arrêter d’en répéter les vertus, d’en caresser la moindre parcelle qui pouvait s’offrir a lui repoussant difficilement ses envies. Jusqu'à voir les reflets satiné du tissu glisser lentement le long de ses formes pour s’évader sur le sol…

Sa nudité était flagrante et maintenant le rouge lui venait aux joues si facilement! Il fallait bien rééquilibrer les choses un peu !!! Et oui son sourit ne se chasserai pas de lui-même alors que le temps filait. Ils approchaient lentement de la destination ultime de leurs ébats pourtant encore bien des étapes à franchir avant d’y arriver.

Anako se perdait sous tant de tendres baisers essayant de les lui rendre avec la même délicatesse qu’il était porteur pour elle. Juste assez lucide encore pour détacher les boutons du pantalon qui les séparait. C’est en peu de temps qu’ils glissèrent le long des longues jambes d’Inwë.

Maintenant, tous leurs vêtements jonchaient le sol froid de la chambre rien de plus. Ils continuait leur corps à corps effréné plus rien n’était que leurs deux lui semblait-elle alors qu’il volait dans l’éternité les désirs et des non dit de l’amour.

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Maintenant c’était a lui de reprendre les rennes. Elle n’avait pas à se cacher de lui, même s’il lui semblait impossible que ses joues ne se teintent d’un rouge pivoine tendis qu’il s’appropriait ses lèvres vermeilles. Passant doucement un bras dans son dos, elle aurait peut-être put prévoir qu’il comptait une fois de plus la prendre dans ses bras. Comme seul excuse il lui ferait référence a plus de 12h plus tôt… ou il avait fait le même geste sans récitante aucune. A la différence que cette fois elle avait gardé toute sa réelle conscience du moins il l’espérait, car la sienne commençait lentement a partir, s’envolant en de légères fumeroles sous les rares baisser bien que brûlant qu’elle avait su additionner sur sa peau. Ils pouvaient aisément sentir ses doigts chaque parcelle de peaux avec finesse comme une touche de chaleur qui laissait leurs propres traces sur son corps. Impossible à voir à l'œil nu pourtant.

Il ne semblait plus aux prises avec ces problèmes… la peur, l'ignorance, le lendemain lui importait peu tout comme hier. Mais il connaissait ses pensées, ils les lisaient en son âme comme un livre ouvert, les pages se tournait à son passage et intérieurement il y répondait. Ils n'avaient jamais lu ces livres, il écrivait les siens, tout comme une nouvelle histoire venait de naître aujourd'hui. Il connaissait d'or et déjà les mots qu'il ne prononcerait jamais, les gestes qu'il ne pourrait poser, les pensées qui lui étaient interdites. Tout comme jamais sa main ne ferrait autre que caresser sa peau avec douceur, ses lèvres n'en viendrais qu'à effleurer les siennes, sont cœur ne pouvait le trahir, il préférait mille fois écrire chaque regard, décrire la richesse de son amour. Il n'imaginait pas d'autre fin.

Ses lèvres se sustentaient à sa peau où il échangeait ses mains contre de purs baisers de flamme. Il ne sentait que trop bien sa main l'effleurer. Descendre lentement parsemer de douceur, d’une touche qui était sienne le corps sous lui qui croulait déjà sous ses baisers.

Les baiser tièdes sur sa peau, ses main si forte la soutenant dans le vide les draps, ses mains sur son corps plus rien n'y fit la réalité n'était plus. Elle définitivement expédier dans cette univers de sensation intense abandonnant son corps ses pensée ses craintes et tout le reste. Rien ne comptait plus sinon le toucher de leur corps.

En accord avec les geste d'Inwë dominance tranquille sur leurs ébats fougueux. C'est l'instinct le sens inner qui guidait ses geste ses mouvement plus rien ne pouvait en venir à autre chose son corps s'arcait tendu a l'excès répondant au caresses plus marquer de seconde en seconde...

...

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Il c’était défait des quelques drap blanc qu’il partageait encore avec Anako. Lentement avait défait l’étreinte de ses bras autour de son corps frêle. Ce n’était pas vraiment de bon cœur. Il avait dormit quelques heures, et à son tour le soleil était partit, ne laissait plus le ciel qu’a la merci des étoiles et d’un astre blanc sans réelle lumière. C’était son jour a lui. Son soleil qui n’émettait plus que de pâle rayon blanc dans des ruelles sombres. Rapidement il c’était rhabillé, avant que ses yeux dorés ne fixe Anako quelques secondes.

Se penchant sur elle ses lèvres attendaient à quelques centimètres de son cou pour murmurer quelques mots, qu’elle eut put les entendre ou non. Si elle aurait pu le voir elle aurait compris que la laisser ainsi lui coûtait mais qu’encore il n’avait pas ce choix.

- je dois partir mais je reviendrais pense a moi et ne m’oublie pas.

Il avait remit ses lunettes atténuant le pâle éclat de ses yeux, il ne laissait rien derrière lui sinon les souvenir de cette nuit et des paroles qu’elle n’entendais qu’a moitié…

Elle entendit les mot si doux du rêve de la bouche même d'un ange ''Je dois partir mais je reviendrais pense a moi et ne m’oublie pas.'' Comment oubliez le paradis! La vie n'as rien a envier au paradis dans ses bras le paradis à l'air fade. Elle n'était pas tout à fait réveiller mais elle n'avait rien manquer du message de son amour. Il était partir et il reviendrais surment avec qu'elle ne se réveille...
La lune, astre céleste était haute dans le ciel le matin ne se lèverais pas avant plusieurs heures encore la musique de la nuit envahissait l'endroit par la fenêtre entrebailler. La fin du jour avait été mouvementer mais maintenant le calme règnais sur la petite chambre de la tour du souvenir...

Elle avait si bien dormit, pour une fois. Elle était si bien dans les bras d'inwë ... ses bras... ses bras mais où étaient-ils passer ?En quelques mouvement elle s'apercu qu'elle était effectivement seul dans le petit lit. C'est sur se moment d'hésitation qu'elle ouvrit enfin les yeux sur la la petite pièce sombre. Avec précaution elle se resdressa dans le lit resserant les draps autour de son corps nue.

Une apréhension lui saisit le ventre, avait-elle tout imaginer, tout rêver dans le moment d'égarement qui l'avait conduite des catacombes à l'endroit si famillier maintenant à sa mémoire. L'étranger était-il son Inwë ou son Imagination était-elle trop fertiles dans la nuit... Quel cauchemards non non non elle s'y refusait elle ne pouvait avoir révé de tel chose autant de précision... Mais il n'en restait pas moins qu'elle était seule!

Elle était engourdit par le sommeil mais son impatience de pouvoir faire quelques pas à l'extérieur était grandissant. Comme un besoin de première instance alors que pour autre envie Inwë occupait ses pensé plus ou moin ordonné elle disfonctionnait dans cette endroit elle ne réfléchissait elle avait besoin d'air. Elle ne pouvait partir sans laisser à Inwë une trace pour la retrouver...

*Juste au cas ou*

Elle mit une rose sur le lit son parfum extrait de la vision même de l'endroit ou elle comptait se rendre... son jardin. Le seul parmis les milliers qu'il pouvait exister ou tout dormait en permanance sans bruit dans l'air glacé. Elle réfléchirait la-bas.... Elle n'avait eu de solitude que quelques heures ou Inwë était aller ont ne sait où pour se nourrir

Nombre de messages : 25 Date d'inscription : 28/08/2006

Une ombre noire s’infiltrait dans la chambre. Noire de toute sa grandeur, laissant les pans d’un tissu sombre lécher le sol. La porte grinçante avait cédé sous la main blanche qui émergeait des nombreuses toiles noires. Mais la brillance de ses yeux ne s’arrêta qu’au moment précis ou il put voir la rose intacte sur le lit. Une tache rouge sur les draps blanc qu’elle surplombait. Tendant une main fébrile vers la fleur épineuse, il la portait à son visage dans un geste infiniment lent… Il n’y avait plus qu’un sourire qui étirait ses traits. Une délicieuse fragrance, qui avait tôt fait de capturer ses pensées tendit que l’arome subtil de cette fleur à la consonance de l’amour, lui laissait le parfait souvenir d’Anako.

Il gardait pour lui ce présent qui ne lui était pas destiné, question de précautions, tendis que ses pas reprenait, soutenu par un espoir soudain.

Ses rêves mouventé vivant d'eu même à la base d'un sensiblité accrue et indéffectible. Les sentiment contracdictoire l'avait trompé il l'avait enfermé dans son ford interrieur sans explication un autre coup du destin malheureux il y avait une raison peut-être pas! C'était l'incompréhension de tous ces évènement qui la brouillait le plus! Il devait trop étrange de rencontrer deux amour à la fois son frère et Inwë il n'était pas en compétion dasn son coeur seulement aujourd'hui elle pouvait comprendre les geste possé par son frère poussé par cette amour que l'on ressent qu'une fois il ne voulait plus être son frère. En quelques sorte elle se sentait trahis par un tel engagement qui les avait éloigner...

Le monde des rêves noir envahissait lentement, incurablement la logique ou les vestigement qu'il en restait dans son âme en reconstruction... Le château qu'elle habitait sous un ciel de pluie au trompe d'eau diluviale, la salle d'arme au millieu d'une de la cour interieur de se château au mur sans porte... Les arme la seule chose pour laquelle elle avait un dédain fondamental. Exposer toutes brillances dehors nin plus belle ni plus laide elle n'était ni semblable ni différente...

_ Bat toi Anako tu n'est pas celle que tu crois! Je te battrai les yeux fermé si tu ne sais laquelles choisir... et si c'est la mauvaise tu souffira plus que tu ne le croit!

Elle soufrirais elle avait les pouvoir d'un monde entier... s'il croyais pouvoir la battre il ne savait pas qu'il souffrirais lui-même atrocement mais cela elle ne le voualis pas la colère ne l'atteignait pas... pas plus que la sufisance des paroles de l'étrange combatant. Il n'était pas suffisant pourtant il ne fesait que déclamé la vérité... une vérité sincère au point de se troublé elle-même.

-Je ne veut pas choisir d'arme... La plus grande force est celle de la paix et de l'amour que l'on porte à ceux qui nous veulent mort et pertent les aimé jusqu'au tréfond de leurs humeur noire... Les armes ne font que les borné dans leur décisions dans leur méchanceté il ne me serre à rien de choisir celle que j'ai rejetté par choix.

_Tu n'as rien compris, Anako je te croyais intelligente pourtant c'est un choix que je te demande pas de tuer quelqu'un!

Un fois entre la mort ou la mort quel était la mieux si indentique, ces choix n'en valait pas la peine. Elle avait choisi oui elle avait choisi de en pas faire de choix mais ils en revenait au même point. Elle devait choisir pour qu'il la laisse partir. Elle prit l'épé quelle c'était choisi avec Inwë au dojo... le sabre serpent...

La lame de son frère elle même se retourna contre la main qui la tenait entaillant la peau blanche de son porteur les goutes écarlates fendait l'air transpercant le rêve et visible de la réalité souillant ainsi les draps blanc dans la chambres de la tour du souvenir. Elle dormait paisiblement du moins en apparences, rien pourtant semblait-il ne l'avait touché comment pouvait-elle s'être blessé alors!
Elle s'était trompé sont choix n'avait pas été la bon elle n'avait pas besoin de se le faire dire les actes étaient plus éloquant que les paroles cette fois encore!

_Alors tes choix ne sont pas les bons et tu y réagit très mal n'est-ce pas!!!!

Elle venait de comprendre... Chacune des armes étaient un choix qu'elle aurait pus prendre. Chacune des lames par lesquelles elle menait ou ne menait pas sa vie. Chacun des choix était le bon... sauf si elle était elle-même profondément contre. Si c'était le cas elle s'entravait elle-même agissant contre son bien contre celui de son monde... le plus difficile était de les discernés avant de commettre l'inpardonnable.

Le vase était insignifiant mais elle avait compris qu'elle avait agis contre sa nature poussé par se qu'elle n'était pas foncièrement. Par contre elle avait pris le choix d'aimé Inwë et le destin avait fait en sorte que ses sentiments pour lui soit inébranlable, de se fait on lui avait fait don d'un éventail de sentiment quelques fois contracditoire quelque fois harmonieux, curieux ou encore indissociable.

Elle n'avait pas prit le temps de tout gérer. Elle regrettais son geste qui maintenant toute fois ne menais à rien.

_ENFIN... on progresse il était temps... Je commencais à croire que l'on n'y arriverais jamais c'était plutôt décevant pour quelqu'un d'envergure tel que toi...

-Je ne suis ni d'envergure ni plus fûter qu'un autre tu en as la preuve et puis qui es-tu pour me connaître au point de suivre mes pensée profonde...

_ Et on régresse...!! Je suis ta conscience anako, je suis toi... tu m'as oublié depuis quelques temps! Bah non... plutôt tu n'avait pas besoin de moi, tu savait mené tes histoire seule c'était très bien ainsi remarque... mais cette fois je crois que j'ai bien fait d'intervenir tu commencait à te perdre.

- Ma conscience?!? Bon voilà qu'on me prend pour une folle en plus... Disons que joues le jeu je fais quoi encore ici si je sais je que je suis venue faire en se lieu étrange ne nous le cachons pas...

_J'ai dit que tu avais progressé pas que tu avait finit de le faire...

Du côté de la réalité le sang n'avait pas cessé de coulé et Anako étendu livide dans se lit qui aurait du être blanc et non pas maculé de rouge commencait lentement à se débattre avec le sommeil qu'elle s'était elle-même imposé.

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Les deux hommes avaient longtemps parlé de tout et de rien, mais surtout de tous, Inwë ayant reposé comme il commençait à en avoir l’habitude le corps de son aimé sur les draps blanc à l’attente de son retour, la discussion avait pris un tournant sur la poésie, au grand bonheur de Métrixi qui tentait toujours de soudoyer son hôte. Une odeur étrange attira l’attention du vampire, quelque chose que Métrixi ne pouvait pressentir, l’arôme particulier du sang encore frais, des coupures et des plaies.

- ça c’est pas normal…

Étrangement chacun d’entre eux se retrouvait complètement démunie face à l’étrangeté de la situation, Métrixi ne l’avait jamais vécu avec Anako et Inwë non plus. Êtes-ce donc lui qui attirait tout ces problèmes ?

S’approchant le plus qu’il lui était possible, Le jeune vampire regardait lentement le regard perdue les ondes rougeâtre sur les draps comme sur son corps… S’il n’en avait été que de cela il aurait survécut, avec une inquiétude profonde mais aurait surmonté une légère peur qui amplifiait toujours. Il voyait pourtant ses bras se couvrir d’écorchure ses joues comme son visage se colorer de quelques gouttes de sang caressant sa peau pour refléter les yeux de son amant.

*…pas normal…*

Ses mains resserraient les siennes pour empêcher Anako de tomber du lit tout comme de se fendre le crâne quelque pars a force de se débattre, il maintenant l’espoir que peut-être elle se réveillerais et pourtant il n’avait aucun doute qu’elle resterais dans son rêve. Il n’y avait que les comptes de fée pour se finir bien, ici c’était un compte de magie, de merveille et de vampires. Pas la moindre fée pour lui venir en aide.

- Si tu ne trouve pas un moyen de la réveiller avant qu’elle ne se tue je jure que je te viderais de ton sang jusqu'à la dernière goûte !

Les crainte aussi faible soit-elle que pouvait ressentir le vampire se transformait rapidement en agressivité, un exemple a ne pas suivre…Il s’adressait bien entendu a Métrixi qui complètement éberlué le regardait faire sans bouger. A la recherche lui-même d’une solution. Les yeux violacé fixait les reflet rougeâtre de ses plaies à la recherche d’un quelconque événement similaire a sa mémoire. Un souvenir ou quelqu’un survivait sans trop de dommage.

- anako…

Voila qu’il vivait un cauchemar éveiller en voyant sa mie tombée elle-même enfermer dans des rêves dont il n’avait pas la moindre idée mais qui lui semblait d’abords et avant tout dangereux…

Le sommeil d'anako ne semblait pas vouloir prendre fin... à son grand désespoir! Elle n'avait ni mal ni inquiètude mais ça place n'est pas là au près de se substitut de conscience que ne fesait en réalité que l'harcelé d'avantage.

_Alors Anako tu te dicides? Je ne suis pas très patient ! Et par pitier ne réfléchit qu'à l'épreuve on est déjà en retard sur mes plans imagine si tu essais de comprendre ma nature... On est pas sortit de l'auberge.

Pourquoi s'il savait la réponse il ne la lui donnait pas? Il s'amusait à lui cacher la réalité sous des images sans rapport avec la situation. Ensuite il l'insultait sans autre but que de se faire plaisir à lui-même puisqu'Anako ne s'offusquait pas en se lieu où il ni avait que le calme qui l'imprégnait. En troisième lieu il ne lui restait aucune porte de sortit elle ne pouvait choisir autre chose que se qu'elle avait déjà suggéré sans succès.

_tu n'as qu'à choisir c'est pas compliqué...CHOISIR!!! soit une lame soit une autre ya pas de quoi tuer un chatv voyons!!

*anako -la voix d'Inwë-*

- choisir choisir c'est bien beau en l'aire comme ça mais encore faut-il faire le bon choix et le bon choix pour quoi je te le demande?!?!

Elle n'avait que le souvenir de la voix d'Inwë l'imcompréhention l'emportait sur l'instant où était-elle, pour qu'il l'apelle ainsi aussi anxieux. Elle est à ses côté pourtant, mais non elle était dans cours du château sans nom... il...elle...

_Une question posé sans signification à souvent plus de sens... donc je récapitule... encore... tu as choisis une épé qui représente un choix, tu as choisi le sabre de ton FRÈRE et elle c'est retourné contre toi... C'est évident pourtant...

Malgrétoute sa compréhention le problème restait entier... son frère... l'épé, les arme, les choix:tout ca n'avait aucun sens.. vraiment aucun sens et la réalité s'éloignait encore un peu plus.

Nombre de messages : 25 Date d'inscription : 28/08/2006

Une solution… juste une solution sa ne pouvait être si difficile a trouver. Métrixi se creusait les méninges a en chercher une, se fessant brutalement ramener a la réalité par inwë qui avec tout son calme lui fessait part de ses intentions s’il ne trouvait pas cette solution très rapidement. Avec une légère pression sur les épaules le dieux déchu cherchait un quelconque pouvoir qui aurait put l’aider ou aider Inwë ou anako… les voilât tout trois pris dans un cercle vicieux qui se resserrait de seconde en seconde.

Se levant de son siège pour observer sa sœur il ouvrit la bouche sans en prononcer le moindre mot et la refermât aussitôt, s’apprêtant a parler une deuxième fois il fut pris d’un manque de voix et devint muet, a sa troisième tentative, ses yeux violet venait de s’animer reflétant parfaite la dorure des flammes d’Inwë pour s’exclamer avec la plus grande francheté :

- Je n’en sais rien…

Mais il se reprit rapidement passant les quelques mèches de blanc nuage derrière son oreille dans un air de réflexion. Que faire, Que dire ? Anako était-elle en réel danger ou non ? Il avait vu sa sœur survivre aux pires guerre qui déchirait son âme, mais pourtant elle n’avait jamais daigner dans une bataille, ni même choisir une arme, elle en avait été incapable du moins c’est ce qu’elle disait. C’était bien la première fois qu’il la voyait réellement perdre son sang petit à petit, et la première fois qu’il s’apercevait autant de sa fragilité que de la sienne malgré ses pouvoirs divins.

- le plus logique serait de trouver a quoi elle rêve, et si possible pourquoi… Au cas ou elle aurait une certaine difficulté a combattre son... cauchemar…

Étrangement ses mots se perdaient dans l’infini d’un silence parfait tendit qu’il parlait pour ne devenir plus que l’ombre d’un murmure dans la pièce. Les seuls mots qu’il peut encore voir flotter dans l’air, n’était plus que la description de sentiments amère qui provenait des yeux de son compagnon qui se teintait peu a peu de mots sanglant… rougeâtre et de vision sanguinolentes.

Il semblait évident que sa sœur combattait un rêve. Un rêve qui la prenait pour un chemin parfait vers la réalité dans laquelle il la couvrait de ses nombreuses plaies. Qui pourrait s’en prendre a sa sœur et serais assez puissant pour la laisser dans un état complètement endormis a creuser des sillons de pars des lames invisibles et encore intouchables et irréel. La seule réponse qu’il trouvait était illogique, Elle. Seul Anako avait ce pouvoir, et encore… dans ce monde elle était la divinité la plus puissante et l’unique d’ailleurs qui existe encore.

- Tu me laisses un peu de place ?

Métrixi se penchait laissant son visage près de celui de sa sœur sa main sur son cou. Autant d’idée étrange que chacun pouvait se former. Avant qu’il n’arrête de bouger. Sa main avait déjà longtemps caressé son cou déplaçant les mèches métalliques qui s’y trouvait. Le temps semblait aussi lent pour le pauvre vampire qui le regardait faire trop jaloux pour le laisser dans une telle position plus longtemps qu’il semblait rapide pour les dieux déchus qui sentait tout aussi bien la frustration de son hôte. Il n’en dit mots pourtant silencieux.

Il sentait l’âme flamboyante a ses côté qui ne tarderais de devenir un véritable feu de joie autour du quel dansait avec gaieté une émotion qu’il éprouvait en trop grande quantité… la jalousie. Quelque seconde plus tard il jetât un grand froid sur ce feu en lui donnant son court compte rendu :

- Elle s’essouffle pour rien, mais son cœur bat presque normalement, presque…

-Il n’y a aucun sens a tout cela laissé moi partir maintenant il n’y a strictement aucun sens à tout ça!

Elle n’avait toujours pas trouvé la solution de l’énigme de celle conscience simuler le destin aurait sûrement eu plus de doigté si il l’avait abordé dans la réalité ces lois régissant l’univers dont elle était tenu de maintenir les lois n’ayant en tout et partout la seule responsabilité que de faire régné la logique sur un monde qui sans elle serais une création sans queux ni tête magnifique certes mais sans unique agréablement moment pour une vie humaine qui ne saurais vivre sans quelque logique que se soit.

_Petite Anako tu n’en voit aucune, là est la différence. Je ne pouvait t’appeler sans sens logique donc au fin fond de cette histoire il y en a une… Petite insignifiance! Et dépêche toi on n’a pas une vie à perdre!

Alors là, c’est trop il n’avait pas mis un mot plus haut que l’autre et pourtant les sens possible s’amenuisait pour laissé libre cour à la vrai solution. Les armes représentant des choix elle avait choisi ceux de son frère l’épée ne lui était propre… Si elle devait choisir une arme c’était la sienne qu’elle devait trouvé…

-Mais je n’en ai pas et je n’en veux pas en avoir de ça et même si je voulais bien en avoir une il me serais impossible dans forger une d’en créer une je ne suis pas une artiste! Je ne suis pas une choses que les émotions manipule…

_ Ah non?

- Non il me ne … Mais attend un peu… mais bien sur oui il m’ont manipuler … Mais je ne suis pas pour autant capable de créer une arme à ma mesure pour les autres c’est pas tellement complexe mais pour moi...

_ C’est la même chose dit-il en coupant la parole à Anako!!!
*pffff*

Qui n’essais rien n’as rien. Même si elle connaissait d’or et déjà le résultat il ne se passerait rien qui puisse ressembler à une épée…

_ Anako, tu as beau avoir une tête sur les épaule quand tu le veut tu es borné si je te dit que tu peux, tu peux ça ne va pas plus loin tu es exaspérante!

- J’espère bien, si je ne l’étais pas tu ne pourrait pas être ma conscience! Et est-ce que se ne serait pas une pointe de compliment dans vos paroles?

Elle l’avait bien fait taire cette fois! Elle lui prouverais qu’il avait tord et qu’elle ne pouvait pas faire se qu’il lui demandait… Cette arme qui devait lui convenir ne devait ni être très lourde ni très légère le poids idéale, elle ne devait pas être rapide, ni lente, elle devait être précise, Un juste équilibre dans tout se qu’elle avait d’acquis à un moment ou à un autre : l’amour, les responsabilité, la sagesse tout se qu’elle était se remémorant par le fait même se pourquoi la vie qu’elle menais était la sienne et pourquoi elle en était arrivé à se contredire elle-même.

Informe qu’elle était la lame prenait vie sans effort! Un ange au aille recourbé protégeait la garde ce même ange n’était ciselé mais bien encrer aurait intégrer dans le reste de l’arme qui ne faisait qu’un d’un bout à l’autre… La lame brillant et pure brillait des quelques rayons de lumières qui filtraient au travers de l’épais manteau de nuages qui couvrait le ciel.

Cette lame lui ressemblait mais la trahissait la perdait et se rebellait contre son maître qui par dédain l’avait laisser choir dans l’oublie le plus total et cela rajoutant au blessure déjà reçu…

_Tu ne lui plait pas on dirait.

Le rire sadique de l’homme ténébreux se figea dans l’air déjà lourd de la cours intérieur du château sans nom… Il lui signifiait ainsi que quelque chose lui manquait et que son raisonnement aussi logique soit-il manquait de sincérité!!

Au fond d’elle-même elle n’avait accepté le chemin qu’elle avait chois se pour quoi l’armes l’avait entaillé mais son choix était pris cette fois et le rallongement d’elle-même dans cette lame lui convenait autant qu’elle pouvait être elle-même…

Elle s’empara de l’arme et d’un coup se retournant vers sa conscience qu’elle savait juste en se moment…

-Merci, mais cette fois je t’ai déjà battu!!!

_ Et oui que voulez vous chère Anako, toute votre grandeur fini par éclaté un jour de pluie… au revoir…

Le choc fut soudain et la chute dans la réalité lui déchira les entrailles. Elle se redressa à vive allure ne voyant ni ou elle était ni la personne qu’elle agrippait fermement. L’odeur de son frère lui vint lentement du même coup elle la rassura et la calma, aussi il était là et ne la quitterai pas… Revenant de se rêve elle souffrait plus qu’il n’aurait dû, et elle ne comprit pas que les brûlure qu’elle ressentait était les entaille bien réelle, séquelle du rêve qu’elle avait vécu… son sang coulait elle ne sens rendait nullement compte…

Nombre de messages : 25 Date d'inscription : 28/08/2006

Sans les pouvoirs extraordinaires d’Inwë, Métrixi pouvait tout de même sentir la douleur qui semblait habiter sa sœur. Il n’en fut qu’un grand soulagement quand elle repris conscience, se blottissant dans les bras de son jumeau. Sans contexte les deux hommes lâchèrent un piètre soupir en commun portant sur la déesse le même regard empreint de tendresse. Preuve que malgré les différences qui pouvaient éloigner les deux êtres quasi opposé qu’il était restait un peu d’espoir de les voir réellement s’entendre. N’êtes-ce pas le premier pas ensemble qu’il fessait ? Sans aucune incertitude, l’on pouvait avouer qu’il avait vécu tour a tour les même sentiments bien que exprimé différemment…

- Quel don étrange as-tu de pouvoir nous faire aussi peur…

Sans gène aucune il resserrait lui-même l’étreinte de ses bras, souillant de même ses vêtement de quelques taches de sang.

Inwë la a quelques centimètre ne fessait rien pour l’en défaire, il pouvait être follement jaloux de tout et n’importe quoi, il n’en restait pas moins qu’il était d’abords aux service de ses besoins, et en quelques sortes de chaque envie qui pouvait l’habiter un seul instant, responsable en partie de son bien être… et il passait d’abords par le fait qu’elle puisse vivre, il lui semblait idiot de la voir partir grâce aux désagréments d’un rêve. A quelques fantômes irréel c’était son opinion il n’avait rien vu rien su et il s’en accommodait très bien. Il ne fit qu’approuver, d’un sourire les dires de Métrixi.

Ce pouvoir étrange lui fessait vivre une foule d’émotion qu’il réprimait depuis longtemps elle leurs donnait en quelques sorte un sens une raison. C’était bien, c’était mal, un peu des deux, combien d’aventures malheureuses avait-il déjà vécu ? De mésaventures qui lui laissait un goût amère dans ses souvenirs.

Ses yeux noirs perçaient d’un reflet rouge plus intense que jamais. Ce n’était ni la soif ni la faim qui se frayait un chemin mal placé jusqu'à son regard de braise. Simplement la naissance d’une larme qui n’arriverait jamais a vivre dans l’environnement hostile qu’il lui donnait. Un cœur refroidit qui tentait tant bien que mal de rester éveillé dans les noirceurs d’une nuit de loup. Sa peau recouverte d’une épaisse couche de neige, blanche et froide dans laquelle il avait déjà gelée. Mais il n’abandonnait pas pour autant, la flamme que portait ses yeux, ni même celle que pouvait porter Anako.

Pour une nouvelle fois il sentait ses mots si fort qu’il aurait été stupide de les taire aussi les répétaient-ils inlassablement a son esprit. L’insaisissable résonance d’un ‘je t’aime’ si loin et si près.

Métrixi c’était levé a son tour laissait sa place a Inwë sans aucun doute de ses pensées s’exclamait avec un sourire merveilleusement mielleux :

- Je cours chercher de l’alcool et peut-être quelques bandages…

Et le vampire l’approuvait complètement! IL sentait le poids soudainement pesant de la fatigue, les émotions peut-être…. Ce n’est pas pour autant qu’il comptait dormir. Sans véritable mot il fixait le visage de sa douce parcourut d’un léger frison quand sa main venait caresser sa joue et retirer au passage quelques goûtes de sang. Les mots silencieux sortait de sa bouche

Le souffle encore cham branlant elle se perdit contre le corps de son frère en reprenant douce conscience de la réalité qui l’entourais : Inwë, La chambre de la tour du souvenir, les courant d’air traversant ses vêtement humide et poisseux de sang. La réalité telle quelle l’avait quitter disparaissait tranquillement faisant fit de sa vue des élément passé comme si pour un instant rien n’était à craindre, Bercé par les bras aimant de son frère elle appréciait la douce chaleur de son corps l’odeur familière, se contact, qui pendant sa disparition lui avait manquer sans vraiment qu’elle le sache…

-Je ne voulais pas se n’est pas par choix je…

Éperdu et désorienté elle n’avait pas réellement conscience de tout se qu’impliquait cette phrase d’apparence banale et qui pourtant… Doucement l’étreinte cessa se n’était pas une perte, lui laissant ainsi voir l’environnement de la chambre lui ouvrant aussi la vue sur Inwë. Il avait l’air dévasté jusqu’au plus profond de lui-même.

Ses main sur sa peau avait toujours le même effet, et elle ne savait comment lui expliqué les dilemmes essuyer à l’intérieur d’elle? Elle n’avait que très peu de mots au plus intense des moments, intense en émotion ressentie pour lui comme pour elle. Comprendrait-il cette si grande différence qu’elle ne savait expliquer.

-Jamais sans toi.

Un murmure a peine audible débitant plus d’énergie qui lui avait fallu pour essayer de ne pas flancher de l’autre côté. Il lui avait coûter encore plus pour trois mots que pour survivre sans tout se sang qu’elle avait perdu. Le sens d’une vie y résidait le comprendrait-il?

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Les deux garçons se fichaient complètement de la réponse qu’elle aurait pu donner et de cet air complètement déboussolé, en cet instant persistait la joie simple de la voir respirer normalement, de sentir les quelques battements effréné de son cœur et entrevoir sous des mèches de cheveux argenté tremper de sang ses yeux brillant qui s’agrippant a la réalité. Ne négligeant pas pour autant ses nombreuse blessures chacun s’activait a sa manière, et tendis que Métrixi courait a la rechercher de désinfectant, Inwë reprenait sa place.

Ses mots étaient d’un grand réconfort pour si peu de parole, ne restait plus qu’à espérer qu’elle ne tombe dans ses bras inconsciente. Caressant du bout des doigts le visage amèrement redessiner de sillon rouge, s’abreuvant à sa chaleur comme seul source d’espoir son vissage se rasséréna bien vite. Perçant cette froide solitude et amère détresse qui l’avait recouvert pendant un instant, pour laisser l’éclat pâle d’un sourire victorieux. Ses yeux doré semblait plus tendre que jamais, sous ce froid intense parcourut de frisson le feux s’y était soudainement éteint, sans aucun espoir a brûler pour se consumer, n’y laissant plus que l’éclat lointain de sa lumière en nostalgie.

Il lui forçat la main l’obligeant alors a s’étendre de nouveau sur le lit qui s’y prêtait bien, voyant dangereusement ses dernières forces la quitter et sa tête tomber.

- Promet moi seulement que tu ne referas pas ce cauchemar.

Et pourtant il ne voulait rien entendre, ni ses paroles futiles qui sortirait de sa bouche seulement savoir qu’elle eut promis en elle qu’elle ne le laisserait pas en plan une prochaine fois, son amante avait beau être une déesse merveilleuse, rien ne pouvait alors être plus dangereux qu’elle-même. Juste savoir qu’il ne la perdrait dans de telles conditions où il ne pouvait rien faire… embêter par une porte invisible qui aurait put emprunter pour l’aider.

Déposant le plus fin des baiser sur sa nuque, sur sa joue et finalement au creux de son cou ou il restait blottit contre son cou il attendait silencieusement le retour de Métrixi a l’écoute des pas lointain qui se rapprochait rapidement.

Nombre de messages : 25 Date d'inscription : 28/08/2006

Métrixi ne tardât pas, s’évadant dans les couloir jusqu'à en perdre trace d’où il était, a son grand bonheur il trouvât non loin une bouteille isolé de ce qui ressemblait a du whisky. Quoi de mieux pour commencer une journée que de se réveiller avec un bon verre d’alcool puissant ?! Remontant les marches deux par deux après quelques rapide minutes il se retrouvât de nouveau dans le somptueux décor de la chambre, sa bouteille a la main.

- vous gêner pas pour moi !

S’adressant principale au vampire qui meurtrit en tout sens restait toujours collé à son aimé, sans aucune chance de l’en décoller selon Métrixi. Se penchant sur sa sœur a nouveau il était heureux de la voir toujours vivante et réveillé, affichant un certain sourire mi faux mi-vrai il reprit la parole, sous un ton étrangement désolé pour sa sœur.

- un pouvoir terrible, j’espère que tu as profité de tes moments de répit ma chère sœur car tu n’as pas terminé de souffrir.

S’affairant autour de la bouteille il sortir d’une poche isolé un mouchoir en tissu blanc qui ressemblait davantage a un simple bout de tissu… rapidement se dernier devint translucide avec l’ajout de la forte boisson alcoolisé. A la simple odeur qui s’en dégageait Métrixi pouvait sentir la tête lui tourner il n’avait jamais très bien tenu l’alcool, sa sœur non plus d’ailleurs mais déjà mieux que lui. Laissant Inwë se perdre dans les bras d’anako il préférât quand a lui commencer sa tache ardue, pourquoi ? Simplement par ce qu’elle lui demandait de faire sûrement rugir de douleur sa petite sœur, et pourtant il devait nettoyer le nombre record des écorchure et des blessure qui parcourait ses bras son visage et encore…

Resserrant la main d’Anako il appliquât le mouchoir sur chaque plaie de son bras gauche qu’il put voir. Rehaussant de temps a autre les yeux pour observer le visage figé qu’elle lui offrait. Comptant une a une les plaie il en comptât 4 plus ou moins importante, et quelques écorchure ici et là sans grande importance. De seconde en seconde, la blancheur du tissu se mélangeait à un rouge cerise, dilué dans le whisky. Une boisson certainement parfaite pour son amie qui semblait toujours atterré.

- j’suis désolé mais j’ai pas trouvé mieux…

Au dessus du lit tout se qu’elle pouvait voir se n’était qu’Inwë qui lui parlait doucement par de la son souffle dans son cou libérant sûrement ainsi l’inquiétude qui rongeait son cœur. Il n’avait pas été inutile de faire se cauchemars qui n’en était pas un en faite puisqu’elle n’avait en aucun cas eu peur elle avait seulement faire de mauvais choix… Elle avait souvenir à se moment non pas ses propres choix mais ceux de l’homme qu’elle chérissait tant…

Elle voyait à quel point certain pour lui avait été pénible et à quel point cet homme était torturer elle se l’était promis elle n’interviendrait pas la ou le destin avait mis point et virgule, elle n’avait pas le droit mais pour l’heure elle ne pouvait ni parler seulement même penser la faisait souffrir tant son sang lui manquait.

Son frère apparu dans son champs de vision avec se qui lui semblait être une bouteille. Dès qu’il l’eu ouvert l’odeur trop forte de l’alcool puissant lui monta au nez et lui fit tourné la tête. Cependant dès qu’elle eu comprit par l’atroce brûlure sur ses bras à quoi servait le whisky l’odeur ne fit que la ramener vers cette réalité douloureuse.

À chaque fois que le liquide froid entrait en contact avec sa peau elle émettait un faible grognement audible pourtant les son sortant de sa gorge qu’elle aurait voulu muette s’émettait d’eux même sans choix du timbre ou de les refouler tout simplement. Agripper à la chemise noir et rouge d’Inwë elle avait les ongles encrer dans sa peau par la douleur brûlante lancinante, sans inconscience.

-C’est assez arriva-t-elle a articuler. C’est assez!!!

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Fortement accroché au pan de la chemise sombre de son amant son frère semblait faire sourde oreille a ses quelques gémissement. Occupé à la tache disgracieuse qu’il s’était donné de la faire souffrir, tout comme de la guérir, il s’enquérait peu de son point de vue tout comme celui du vampire. Il dut néanmoins suspendre son travail par un soupir en l’écoutant un minimum quand elle lui parlât. Bien sur qu’il savait qu’elle souffrait, mais que pouvait-il faire d’autre ?! La laisser dangereusement inanimé son sang se répandant dans les draps et boire toute la bouteille de whisky pour lui ?

Aussi Métrixi reprit vite la bouteille en main. Observant sa sœur quelque seconde son mouchoir dans l’autre main. Quelques seconde de silence finirent par l’achever poussant un second soupir il ne pouvait décoller de son visage un minime sourire de joie pourtant a la voir réveiller même si d’une minute a l’autre elle pouvait se mettre a lui crier des injures pour ses gestes déplacé mais pourtant bien pensées qu’il fessait.

- je suis désolé petite sœur mais je n’ai fait la que ton bras gauche…

Ce « désolé » sous-entendait bien entendu qu’il ne comptait pas s’arrêter malgré toute la bonne foi dont il était empli. Aussitôt dit il état sa prochaine réplique naissante a ses lèvre en portant la bouteille de Whisky a sa bouche. L’alcool avait tout autant un pouvoir guérisseur que de pouvoir relâcher ses nerfs tendu et qui sait, éviter la douleur. Lui fessant ravaler de mauvais gré une bonne gorgée du liquide brûlant il repris la bouteille instantanément.

- ne m’en veut pas je t’en pris! Mais c’est pour ton bien !

S’il avait eu un père ou une mère, ceux-ci leurs auraient certainement dit souvent cette phrase mais voila que Anako et Métrixi n’en avait aucun et aussi loin qu’il le sache il furent née a la même seconde, précisément, sans autre but que vivre éternellement a la protection de ce monde. Aussi se devait-il de se protéger chacun tout comme de surveiller de près l’autre et l’ancien dieux, ne réprimait pas avoir désobéit a cette loi en s’évadant dans un simili mort pendant plusieurs années, aussi prenait-il se rôle très au sérieux.

Anako ne pouvait mourir, sans l’entraîner avec elle et inversement mais pourtant, il faudrait les tuer en même temps pour réussir réellement a les faire sombrer, aussi savait-il pertinemment que ses plaies se refermerait, que d’ici quelques jours elle aurait guérit et son sourire rayonnerait comme un soleil de minuit, quand elle partirais joyeuse au bras du vampire qui l’accompagnait et certainement, sans aucun doute véritablement, amoureuse.

Mais il ne prenait que dalle ses nombreuse fois ou chacun avait frôlé la mort s’en tirant extrêmement chanceux.

Reprenant sa tache ardue il contournât le lit pour atteindre son bras droit. Et fessant de nouvelles sourdes oreille à tout gémissement qu’elle eut put faire ou tout frémissement et reproche possible.

Elle ne disait plus un mot concentrant sa vision trouble et distante sur Inwë qui ne la quittait toujours pas, là pencher au dessus d’elle, un réconfort d’un poids énorme plus encore que ne le whisky qui lui brûlait l’intérieur, et il avait se goût âcre qui lui en restait. Elle se savait prête à souffrir bien plus encore s’il restait là auprès d’elle.

Ses doigts se décrispèrent lentement, pas que les soins de son frère soi moins douloureux mais bien plus qu’elle s’efforçait d’en faire totalement abstraction. Elle ne défit pas pour autant ses main autour des épaules de Inwë se geste elle ne le voulais pas et elle ne savait de tout manière si elle saurais capable.

Tout semblait atrocement tournée autour d’elle et du lit sur lequel elle flottait épart dans un état second mais conscient il était certain, peut-être trop pour ne pas se rendre qu’elle ne pouvait répondre, bouger, et dans cette conscience elle désespérait de faire quelques mouvement que se soit…

Son esprit lui revenait lentement comme si vague par vague d’un océan de brumes elle déferlait sur elle lui ramenant la ferveur des moments précédant charger de bien plus que de souvenirs mais charger d’un avenir possible… Son frère était revenu chez lui… Avec elle plutôt.

Métrixi le volage souriant pour rien ses raison toujours au flou mais présente à jamais dans son esprit, le poète, l’artiste rien ne lui était inaccessible. L’idole de longue date de cette femme de cette sœur idiote trop souvent pour des raisons inconnue elle les connaissait aussi bien qu’il la connaissait, plus que sa il était se qu’elle ne pouvait être et vise versa. Xâ autant qu’elle était bénis qu’il soit revenu sous son ciel.

Il lui restait quelques étoiles au devant des yeux comme les derniers relent de cette souffrance qui s’amenuisait lentement. Imperceptiblement au travers des cheveux de son amour un sourire imprévu merveilleux naissait sur ses lèvres sans qu’elle ne l’ai voulu ou presser à apparaître mais bien là

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Pendant cet instant il se surprit à penser la serrant doucement dans ses bras avec l’espérance de diminuer sa douleur, quel pouvait être la chose la plus insupportable a enduré ? Et rapidement ses pensées divergèrent semblable a celle d’un homme vivant. Sa propre mort était bien loin de le préoccupé et encore serais-ce dure a accomplir comme miracle que de le tuer. Ainsi il continuât en passer en revue chaque pensée et a la classé par l’ordre de sa peur et de la douleur occasionné. Nul temps ne pris, pour savoir qu’Anako était son plus grand amour, et sa plus grande peur à la fois et que chaque chose qui lui serait insupportable serait alors à lui-même intolérable car rien n’importait plus.

Et cette douleur ? Il avait difficulté a savoir si elle était insoutenable mais le fait de la souffrance en était un. Tant de chose qui reflétait la peur dans ses yeux, tant de chose qui miroitait comme d’infini étoile brisé de désespoir, tant de cause à l’aimer et à être finalement, bien plus humain que vampire.

Les draps autrefois si blanc c’était orné de rose pâlit et défraîchis. Mais qui y porterais attention ? Heureusement les blessures de ses bras avait toutes été aspergé du plus fort des alcools a disposition et d’autres écorchures bien moins visible étaient de si moindre importance qu’on préféra de loin les oublié. Et ses lèvres se posèrent doucement sur son front, et ne purent qu’aller quérir sur sa peau moite d’infini baiser de douceur sur ses joue rosie, ses yeux brûlants, et ses lèvres évasive.

Si seulement il était possible de lui faire réellement promettre que jamais nulle chose n’arriverait encore, il le ferait mais c’était semblait-il complètement impossible.

-je te promets un amour éternel, des nuits emplis de toutes les étoiles formées de chacun de tes espoirs et rêve, si tu venais à me dire que ma crainte de te perdre n’est qu’un désespoir insensé.

Mais il le savait bien il lui avait déjà promis bien plus. Que ce ne soit que des espoirs et des rêves, il lui promettrait le temps qui n’effacerait jamais rien de cette idylle. Ses yeux dorés se reposaient à son regard ambré de couleurs sans pour autant la libérer de l’emprise de ses bras.

Y avait-il une raison plus grande que l’amour? Rien ne pouvait aujourd’hui détourné son cœur de son amour. Qu’il soit songe ou bien plus encore. Et si songe il devait être, elle vivrait endormit s’il le fallait. Inwë était son courage sa force. Son monde était plus fort, plus vivable puisqu’il y vivait et y était. Et avant? Qu’était-elle avant, avant lui, avant eux? À bien y réfléchir il n’y avait jamais eu d’avant. Elle l’avait toujours aimé peut-être sans savoir son nom, sans savoir même qu’il existait tel qu’elle le voyait là. Elle l’avait toujours aimé. Il était fort, absolument là, absolument avec elle.

Cette fois elle savait! S’il y avait à se battre elle le ferait pour lui, pour eux. Elle avait là, plus de raison qu’il n’en fallait pour resté en vie de vaincre jusqu’à la vie pour qu’il s’aime infiniment! C’était une romance, mais bien plus loin elle les savait éternelle simplement parce qu’il était là pencher sur elle au pire moment. Ou simplement qu’il avait déposé se baiser au goût amer de douleur partager. Et même une fois passé les geste et les beaux mots tendres, ils leur restaient beaucoup, ils leur restaient se qui ne se dit pas se qui ne se voit pas. Ils leur resteraient tous au fond!

-Même morte je serai à toi à jamais mais nous auront l’éternité.

Se n’était qu’un faible murmures comme il y en avait tant dans leur histoire mais il intense d’un rage de hurler se qu’on ne peut dire que tout bas. Le timbre de voix n’avait rien à voir avec l’intensité de ce qu’elle voulait pour eux. Plus que tout, elle le voulais lui près d’elle heureux à jamais. C’était si fort que le murmure semblait ridicule, elle lui semblait ridicule de lui répondre aussi sans doute.

Elle avait un encrage profond… Elle avait ses yeux en point de repère elle ne pouvait plus perde le nord. Son nord a elle, avec ses étoiles les plus magnifiques deux étoile jumelle nébuleuse de feu de d’or elle ne pouvait perdre pied tant qu’elles serrais la planter dans ses yeux à elle. Ces deux pupilles… La seule vraie preuve pour elle qu’il était là. Le reste pouvait être un rêve encore mais elle ne pouvait imaginé ses yeux elle ne pouvait recréer dans son fors intérieur l’intensité ni leurs présence … Jamais.

* tu es là! *