La chambre

Il avait pris soin de remettre ses lunettes les plaçant a nouveau devant ses yeux. Ils diminuèrent de moitié l'éclat rouillé que leurs proférait les flammes de ses iris. Anako avait eu la gentillesse de lui montrer le chemin et sur ce elle n'avait eu d'autre choix. Et surtout elle n'avait pas bougé peut-être par manque de force…

Malgré le fait qu'il tenait dans ses bras une déesse au passé troublé, ses geste n'en semblait pas affecté se déplaçant avec agilité, elle n'était pour lui qu'un poids léger. Pendant ce cours trajet il avait pensée… a mille choses… certain la concernait d'autre pas du tout. Et entre ses pensées il revenait quelques secondes à la réalité, pour regarder, pour admirer, la femme dans ses bras.

Et ses pensées redevenaient amère l'espace d'un instant. Mille fois il s'en souvient, mille fois il avait fait de même ou presque pour un être qui le suppliait. Pourtant chaque fois différentes... chacune de ses rencontres contenait une étincelle de changement. Pourtant …. Il ne percevait plus d'étincelle…il ne savait plus ce qu'il voyait… tout l'aveuglait trop.

Lentement la porte grinça, Inwë l'avait poussé du pied tenant toujours Anako. Se délivrait devant lui l'image d'une petite chambre aux couleurs sombres. La fin ? Déjà ? Peut-être qu'il ne la reverrait jamais… comme le contraire se pouvait mais il se permettait d'y douter fortement. Quelque pas lui suffirent pour rejoindre le lit et y déposer le corps somnolent qui était resté tout ce temps dans ses bras.

Le soleil se relevait étais-ce possible? Non bien sure elle se réveillait doucement au milieu d’un pièce dont elle n’avait pas le souvenir et sa tête était embrouiller de milles nuages. Revenant doucement à la réalité elle émergeait du comas ou elle avait été plongé. Pendant combien de temps? Elle avait complètement perdu toute notion de temps d’espace et tout le reste mais ça avait été un sommeil sans rêve sans autre abîme que celui du sommeil lui même.

À ses côté sur une chaise, était assis Inwë pour quel raison n’était-il pas partit? Alors que tout son être lui criait de la laissé. Elle ressentait en lui tellement de confusion et en même temps sans qu’il le sache il y avait une certitude insoupçonné. Il fallait qu’il le découvre par lui même mais elle savait maintenant la solitude qui étreignait son cœur et ses pensé ses doutes et tout le reste. Ses yeux lui avait parlé, question, répondu tout ça elle découvrait se qu’elle aurais voulu savoir. Mais bien autrement elle avait l’impression d’avoir violé son âme sans qu’il le veuille et ça bien malgré elle.

Elle se leva doucement elle n’avait plus de secret pour lui elle devrait se sentir soulagé seulement elle avait peur de lui avoir infligé un trop lourd fardeaux il était peut-être immortel pas un dieu elle ne voulait plus qu’il souffre mais cela elle ne comprenait pas. En fait elle ne comprenait plus rien du tout sa logique froide lui faisait faux bond …impossible…

L’idée de quitté la pièce en catimini lui effleura l’esprit une autre aussi de lui retiré tout souvenir d’elle. Mais elle ne le pouvait sans faire des dégât autre part et c’était inconcevable. Tout ça pour partir? Elle était si bien! Elle prit la forme d’une enfant blonde au sourire magnifique tout en gardant ses yeux turquoise. Elle avait pour mission de protégé son existence son monde mais pour la première fois l’idée qu’elle aussi avait besoin de protection s’imposa à elle. Qu’elle autre besoin se découvrirait-elle encore? Quel effet avait fait cette rencontre sur elle s’était illogique mais maintenant que lui en restait-il de cette logique?

* Peu importe je ne comprend plus rien. Qu’ai-je fait? *

Il avait eu aux environs de 12 heures. Un temps long à passer qui pourtant lui parut trop cours pour trouver solution à ses problèmes ou même logique a ses pensées, ce temps qu'elle passât a dormir il le pris lui a réfléchir. Pourquoi ici ? Simple … la réponse n'était autre que trop simple mais il refusait en quelque sorte de l'avouer. Était-il encore en pouvoir de s'attacher a quelqu'un ? Alors même que son cœur avait cessé de battre, pouvait-il encore aimer qui que se soit ? Alors qu'il représentait un être assoiffé de sang, de vengeance, une bête insolite et surtout insensible … Il ne pouvait se mentir il n'y ressemblait pas. Il aurait aimé l'être pour Alessandro, il aurait aimé ne jamais l'être pour lui-même.

Avec patience ses yeux se tintaient de dorer des petites étincelles qui lui dévoilaient peu à peu la vérité sur ce qu'il aurait espéré sur ce qu'il était sur ce qu'il voudrait…

Ses pensées l'entraînèrent loin. De nouveau dans ce monde sombre qui l'accueillait a bras ouvert. Un bruit lui suffit pour que le monde bascule dans la réalité. Réalité qui demandait constamment une logique ne laissant aucune place a cette imagination qu'il aimerait se voir réalisé.

Il s'imaginait lui-même… un être non pas vampire mais au même teint blanc, non pas sanguinaire mais aux même prise avec le temps. Relevant doucement la tête ses iris aux flammes doré purent rencontrer de nouveau les yeux de Anako qui se présentait tel une fille aux cheveux blonds et aux yeux bleu. Ce secret n'en était pas un... il le connaissait déjà.

- bien dormi ? dit-il

-Merci combien ai-je dormit? Trop longtemps je croit! Dit-elle rougissant voyant qu’il ne dormait pas derrière ses lunette. Qu’est-ce qui illumine votre regard à se point Monsieur? Dit-elle en riant de bon cœur question de détendre l’atmosphère.

Elle en avait finit des requête elle s’était interdit de lui demandé quoi que se soit elle aurait bien aimé lui rendre l’appareil milles fois plutôt qu’une en faite elle ne savait pas comment lui faire plaisir! -J’aimerais bien vous rendre service ou vous rendre la vie plus belle d’une manière ou d’une autre. Je ne saurais dire à quel point troublante à été notre rencontre .

Ces yeux se volèrent d’inquiétude de voir le temps ou elle devrait se retrouvé seule. Elle n’osait maintenant le regardé de peur qu’il le découvre d’une manière ou d’une autre se temps viendrait aussi ne forcé le temps. Qu’aurait-elle a lui dire lui qui s’avait déjà tout sur elle. Mais le son de sa voix était rare à sa mémoire trop peu de mot avait été échangé entre eux depuis le début beaucoup d’émotion d’image mais très peu de mot. Son sourire elle lui en fit cadeau et pour une fois la vérité aurais pus se cueillir sur ses lèvre même si elle l’aurais voulu elle était incapable de lui mentir d’une manière de que se soit.

- Laisser moi vous faire plaisir je vous en pris!

Pour être franc elle n'avait pas dormit longtemps car pour lui le temps ne ce comptait que comme il en avait besoin. Les heures n'avait aucune importance, c'est l'importance que l'ont accordait a une heure qui lui donnait une valeur, c'est grâce a cet valeur qu'il pouvait dire qu'elle avait dormit longtemps ou non. Pourquoi se fier aux règles ? Au heures et aux minutes ? Il ne s'y fiait jamais… ou presque.

Elle avait beau être resté endormit pendant 12 heures, le temps devenait important, il en lui en fallait d'autre a tout pris.

- Trop peu de temps je peux vous l'avouer, une douzaine d'heure vous a suffit. Mes yeux sont trompeur ne vous y fiez pas ils ont l'habitude de mentir aux personnes qu'il connaissent.

Il regardait ce charmant visage d'ange entouré de boucle doré. Voyant ses joue se colorer d'un rouge cerise et ses lèvre former un tendre sourire. Il était véritablement pour lui… dans le monde d'aujourd'hui qui prenait le temps de sourire encore a quelqu'un ? Il avait la chance de voir un de ces personnes… qui souriait pour lui ? Même s'il croyait tout cela normale, même si c'était normal, il ne pouvait dire pourquoi un simple sourire pouvait lui donner l'impression de tourner. De voir les choses soudainement plus floues.

Rendre service ?

Le monde n'était plus… elle n'avait pas ce droit de l'emprisonner. Un sourire aurait été bien assez il s'était contenté de bien pire auparavant. Pourquoi quelqu'un subitement voulait lui donner tant ? N'y avait-il rien de changer ? Quelle différence entre passé et présent ? Sur une centaine de personne … il devait tomber sur la seule qui voulait payer ses dettes. Quelle horreur… il était tombé trop bas. Venait-il encore de succomber aux anges ? Il se pourrait bien qu'il soit devenu trop sensible.

Le silence avait pris le contrôle de la chambre tel une main de fer lui tenant la bouche pour que n'en sorte aucun bruit, tout comme elle le tenait en place tout comme une statue de pierre.

- Je… non…

Des paroles si faibles qu'elle ne les entendit qu'en murmure. Si dure a prononcé qu'elle venait lui drainer toute puissance… La faiblesse l'emportait… bientôt il y aurait autour des 24 h que le même sang coulait dans ses veines. Il n'avait pas vu le temps passer… pour une fois ses yeux disait vraie, exposant une coulé de sang, éteignant toute trace de doré sur son passage.

Elle ne comprenait plus rien biensur elle comprenait qu'il avait besoin de sang mais c'était le fait qu'elle ne pouvait pas changer de forme du moin humaine qui lui fesait peur. Sachant très bien se qui allait arrivé.

-Je ne peux plus rien faire et je ne peux pas non plus me sauvez...

La peur ne pouvait s'emparer d'elle mais si elle aurais put elle serais morte de trouillle tout allait au ralentis elle na savait plus vers quoi se dirigé la porte la fenêtre peut-être...

Même si elle l'aurait voulu son corp tout entier était paralisé dans la position ou elle était malgré tout sa force vital et tout ces pouvoir elle ne pouvait bougé pouquoi.

serait-ce encore le destin qui me joue un mauvais tour rien ne peut entravé mes mouvement sauf peut-être le force qui nous on créer moi et mon frère que se passe-t-il.

Elle trouvait cela ridicule de resté la et de pensé sans pouvoir faire quoi que se soit pour s'aidé d'une mainère que se soit.

Y avait-il des gens proche ? Il n'avait rien vu depuis les catacombes. Qu'Anako dans ce bout de terre perdu. Il avait pendant un certain temps dédaigné mordre, il s'en souvenait très bien. A ces début ont l'avait contraint… Alessandro l'avait contraint… Le temps passait et chaque jour lui donnait un nouvel œil sur ce qu'était être un vampire, chaque jour le fessait changer d'avis. Pendant une partie de sa vie… une partie de sa mort il l'eut détester mais jamais autant qu'a un tel moment.

Il n'y pouvait rien… il n'avait pas le contrôle sur cet bête qu'on lui avait transmise. Mais que faire pour la taire ? Elle était cent fois plus forte que n'importe quel homme et la rage n'avait jusqu'à présent aucun autre sentiment de taille.

La seul proie que visait cette rage ne semblait pas bouger plus que lui-même. Une scène sculptée dans la pierre. Cette jolie fillette blonde, son sourire l'avait ravie, cette jolie fillette blonde allait pleurer… cette jolie fillette blonde devrait mourir mais… elle ne le ferais pas.
* par ce qu'elle est immortelle…*

Une lumière ? Il n'avait pas ce choix… Il s'était levé, un peu forcé et c'était de nouveau penché vers Anako. Ses yeux rouges fixaient l'océan qui semblait si innocent dans les yeux de cette fille. Il esquissait un sourire réconfortant avant de parler de façon le plus détaché qu'il pouvait. Se voyaient clairement les canines aiguisées de sa dentition alors qu'il tenait la fillette par les bras avec douceur.

- ne bouge pas je t'en pris, je ne te ferais pas de mal, tu est immortelle non ?! Regarde moi et crois bien que s'y j'aurais le choix… je ferais tout autrement.

Ses yeux en était bien témoin il ne mentait pas il aurait pu le juré. Ce moment devenait insupportable, la tension devenait trop grande. Ses forces l'abandonnaient lentement alors qu'il enserrait la fillette de ses bras. Ni chaud ni froid, était-il vraiment un vampire ? Il n'était pas si froid que la pierre, pas si chaud qu'un être normal, il n'était pas complètement inodore ni insensible mais il était dépendant du sang. Il approchait son visage de son cou, ses cheveux caressaient la peau d'Anako. Une seconde… un tout petit moment, un si minime instant, il sentait une chaleur l'enivrer, tel le vin sur un homme. Un vin trop raffiné, si bien que ce monstre en voulait plus, encore plus. Ses lunettes gisait sur le sol froid et ses yeux a découvert ne cessait de changer leurs teinte vers le doré teinté de parcelle de rubis.

- je… je suis désolé.

En quelques secondes ses forces étaient revenu, le temps de prendre un minimum de sang pour tenir encore une demi-journée. Maintenant il savait, il ne pouvait plus rester ici. Toujours a genoux il regardait ses propres marques ne pouvant soutenir le regard d'Anako. La tête sur son épaule, il la gardait encore prisonnière de ses bras. Une main se défit allant jusqu'au cou de cette adorable fillette caressant lentement les traces de sa morsure, éloignant les quelques cheveux blond qui s'y rapprochait il déposât ses lèvres au creux du cou a l'endroit précis ou ses dents s'étaient enfoncé plus tôt, la blessure disparut rapidement. Et même s'il savait obstinément qu'anako avait amplement de force pour pouvoir se guérir elle-même, il le fit quand même. Un réconfort pour lui, pour excuser cet excès de violence ne fallait-il pas équilibrer la balance par un excès d'amour?

Ça n'avait pu arriver! Elle n'avait rien pu faire: elle n'avait bouger, elle n'avait parler, elle n'avait respirer pas un seule mouvement de sa personne de cette petite fille fragile! Pétrifier par on ne sais quel force de la nature. Elle n'était pas morte en ces douloureuses secondes au goût de sang l'homme au regard de sang la rassurait par sa proximité, ses mots ses doigts. Elle n'était pas si forte défaillirait-elle? Curieusement elle ne quittait la réaliter elle était retenue comme par un fil à la réalité dans l'étaux des bras d'Inwë.

Elle soufrait, non elle mourait pas elle éternelle étoile, le corps d'Inwë et la semi chaleur de ses lèvres dans son cou, c'était une émotion trop vive pour une tout petite fille. Ils étaient contradictoire ceux-là le besoin des bras qui la protégeait masi qui pourtant l'avait fait soufrir.
-Je te doit la vérité, je dois te montrer qui je suis, la réaliter la seule de mes millier de facette qui ne se modifira jamais qui ne changera jamais au file du temps. La seule que je suis réellement.

Une légère brise la souleva l'air en un tourbillon imprécit irréelle. C'était une des rare fois qu'elle prenait cette forme les seule fois c'était pour son frère la seule âme jumelle à la sienne cette métamorphoses est de loin la plus dificile. Elle ne créait pas elle revenait à elle même dans le corp d'un femme intemporelle et infin. Ses cheveux au miliers de teinte à la fois cuivre doré argent et bronze battant au vent à la fois si libre et résolument souder en milliard de tresse torsaded'une finesse incroyable.

Il n'est plus question de ses vulgaire yeux bleu. L'un avait maintenant la couleur de la rose d'es vent et l'autre violet impénétrable aspect qu'elle trouvait diforme par le manque de logique du choix des couleur mais elle ne les regardait jamais elle même se souvenir lui échapait.

La main poser sur son propre cou plus de marque n'y figurait mais le malaise lui était perpétuelle et alarmant! Elle ne voulait pas de culbabiliter dans les yeux d'Inwë mais elle ne pouvait lui mentir il le saurait de toute manière.

Elle l'embrasa avec un tendresse infini à la commisure des lèvres ne sachant pas très bien si elle le devait ou si elle fesait fausse route. Un baiser si léger qu'il n'aurais pu être qu'un rêve quelques part dans une nuit agiter.

-Une seule!! Je ne connaissait pas se sentiment il est vrai. Le silence me pèse lourd depuis quelque temps.

Elle lui sourit c'était bien vrai aujourd'hui elle savait se qu'était la peur. Mais quand l'avait-elle ressentit seul l'indéfinissable réalité dans laquelle elle pattogeait le savait. Elle posait maintenant un regard neuf sur se qu'elle avait toujours connue.

-Amor (Amour)c'est que j'ai peur de te perdre!

La peur en elle même n'avait rien d'effrayant seulement il avait lui tellement d'amour... pour un autre. L'amour en se moment elle avait l'impression de le volé à alessandro l'usupatrice qu'elle n'était pas avait par de ne pas être aimer pour elle le fait d'être la remplacante d'un autre...

Elle se libéra lentement des bras qui pourtant si elle avais laissé son coeur parlé l'aurais tenu encore et encore jusqu'à la fin des temps... Il lui fallait du recul. Ce qu'elle savait c'est qu'elle l'amait mais son monde en souffrirait-il? Comment ferait-elle, elle une déesse pour vivre avec un homme hors d'atteinte irait-il vers une autre?

Des pleures firent mirroir dans ses yeux rien ne lui fesait plus mal que c'est pensé amer que lui arriverait-elle maintenant que le point de non retour avait était franchis. Elle ne pouvait se résoudre à partir quitter l'endroit ou il était pour retourné chez elle! Là ou lui ne pouvait aller...

Cette phrase semblât rapidement le remettre vers un chemin plus noble, gardant pourtant pour lui ce goût merveilleux que lui offraient ses lèvres. On aurait pu le traiter d’avare qu’il n’en aurait fait que dalle. Sourd aux autres mots alors que d’une pensée muette sa douce pouvait le contrôler. Douce… un mots trop futile… mais a quel allusion pouvait-il l’associer. Douce… douce…

A l’écoute de ses mots qui ne venait pas ses yeux mordorés brillaient d’impatience. Il n’avait pas de réelle conscience de se qu’il fessait. Encore, toujours…mais une chose déraillait pour qu’elle puisse l’arrêter. Est-ce qu’il c’était si facilement laisser allez, oubliant pour un temps soit peu de contrôler le reste de ses sentiments. C’est cette étrange impression que lui laissaient ses lèvres qui avait pris la fuite ne laissait plus que l’hésitation de ses mots.

- je suis désolé…

Mais ses yeux… ses yeux doré savait si bien y faire avec caprice de gourmandise il recherchait les sien, l’éclat particulier dont elle était seul propriétaire. Mais quand il pure de nouveau contempler l’œuvre de tant d’années il ne semblât rien y trouver, un vide… peut-être le manque des dernier millénaires, ou alors son hésitation fessait face a une ignorance touchante… Ainsi il se retrouvait à continuer cette phrase en l’air qui n’avait aucune fin, pour n’apposer cette fois qu’avec délicatesse la tiédeur de ses lèvres.

- je… sais…

Et il savait tout autant qu'il devait faire preuve de cette tendresse que lui permettait peu son coeur refroidit par les années. Pour sa belle, sa douce...douce..