La Salle de Méditation

Une salle ou le calme est lois

Avancant dans la sérénité du calme avant la tempête [...]. La tête n'est pas l'âme mais l'âme est la tête... Chacune des inscription sur les mur de la salle de méditation avait un sens profond et pure qui avait au fil du temps accompagner nombre de guerrier avant leur leurs combat dans de profonde méditation, Parfois Rafermissant leur choix du bien fonder de leur actions parfois, la seule vrai solution à leur problème était la fuite du combat à entre prendre.

Les larges fresque antique qui ormait les murs avait eu certaines fois des histoire étrange. Trois homme se partageait l'ombre du murs. Un sage dans toute sa puissace, d'un intellecte puissant celui qui sait tout mais qui ne sait jamais assez le sage n'était qu'une question une recherche parmi des centaines de millier essayent d'y répondre et par le fait même en oubliant un millions d'autre.

Il y avait le guerrier, fort et fière en armure près à défendre l'honneure et l'intégriter sans autre but que la loyauté même qu'il vout à un maître ou en lui-même peut-être. Il défra sûrement plus de cent ennemis: cent père, cent frère, cent fils, pour une cause juste et meutrière la simplicité du geste tuer avait une chanson dans son âme...

Le dernier, le pauvre, un simple d'esprit celui qui vit au jour le jour avec le seul soucis de survivre dans un monde qui la fait petit et faible et ou la lutte de tout les instant est devenue la routine invisible à ses yeux. Est-il heureux avec la nature au mille couleur il est le seul qui en voit la beauté et la complexité. Il ne sait rien Impuissant devant la sagesse du sage un devant le sabre du guerrier mais il a la plus grande des épreuve derrière lui: Il a apprit à vivre!

Simple déesse qu'elle était elle se rendait alors compte de la fragilité de l'univers cette balance entre les contraire incessant par le bien et le mal et quand il n'existe pas entre la logique et illigisité l'endroit était le meilleur exemple de se phénomène, Chacun des ces hommes était une force et une faiblesse encrer uen dans l'autre pour ne plus en sortir qu'une fatalité: l'homme est imparfait.

Sans forme particulière elle comprenait plus les mystère de cette vie qu'elle et son frère avait in volontairement créer mais prise au piège dans une enveloppe charnelle qu'elle soit la vrai ou la fausse nature de la déesse il ne restait pas moins que cette vision si magnifique se brouillait pour n'en voir qu'une infime partit et cela la chagrinait au départ elle comprenait pourquoi il en était ainsi c'est sa raison de vivre comprendre mais maintenant il n'en restais pas moins que cela la peinait

Il lui sembla pouvoir voir chaque symbole chaque image se détacher du mur pour venir danser loin au creux de ses pensés.

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

C’était déchirant de la voir observer sans âmes les idéogrammes représentant les trois personnages qui vivant en chacun. Inwë n’était pas du genre à chercher véritablement qui il était, ce n’était plus un problème, c’était perdre sa vie à répondre à une question qui n’avait aucune réponse. Masi pourtant l’attention qu’elle semblait porter aux gravures imprimé sur les murs le fessait réfléchir, pendant de longue seconde mais une courte minute il ne cessât de les observer a son tour avant de reposer son regard sur la déesse envahis pas une mélancolie soudaine qui le chagrinait lui-même.

Dans la plus grande finesse qui lui était possible il s’approchât à pas feutré pour l’encercler de ses bras. Le temps passait si vite, si lent, il voyait devant lui des vagues de cette vie, il n’était qu’a l’aube de cette grande éternité qui l’attentai tout comme Anako. Une raison valable peut-être pour l’oublier… mais se sourire fin qui ornait ses lèvres rose, son teint blafard teinté et ses yeux dorés empreint d’une cruelle douceur témoignait à eux seule d’un événement particulier.

Peut-être entravait-il ses pas de danse que formaient les étranges danseurs de bravoure, de sagesse et de simplicité.

- T’ais-je déjà dis a quel point j’aimais voir tes yeux …

Les étrangetés de ses couleurs qui lui semblaient pourtant si harmonieuse mais si belles dans l’éclat de son amour. Brisant le silence sans angoisse il cherchait à querir cette vois d’ange espérant y voir pointer moins de triste songes que ses yeux le prouvait.

-Il y a si longtemps Inwë, je ne m'en rappellait plus de mes yeux comme de tout le reste... Je ne sait si sait ta voix ou tes bras qui m'ont le plus manquer pendant tout se temps ou tu était partit...

Les blafardes peintures se taisaient soudain elles n'avaient aucune importance. Elle avait replonger au profond de cette état de transe logique depuis trop longtemps, mais le contact étrange, se fils si fin venait de se briser, loin de lui déplaire elle aspirait à plus que de voir des images. Elle voulais les geste, les odeur, les sons, les touchées les plus banale la rendait des heureuse.

Inwë lui apportait plus que tout les cadeaux de l'univers mais il ne pouvait certainement pas sans douter. C'est cette ignorance qui lui fesait croire qu'elle n'avait rien pour lui elle l'aimait ne sachant pas quoi offrir de plus elle ne savait comment lui dire, comment lui faire savoir elle se sentait démunie face à tout ses mot silencieux qu'il lui lancait. Elle ne savait s'il savaiten lire la réponse et cela l'inquiètait. Elle écoutait lentement le tissu de leurs vêtement se froiser. Elle aurait aimer boire les paroles de cette homme aux verbes rares. Il en fesait des trésors inespérés.

-Inwë tu sais je ne sais plus pensée quand tu es avec moi et je ne m'en plain pas... Mais dirais-tu... se que tu aimerais entendre?

Cette question avait ni attente, ni regret mais peut-être un peu d'espérance que se moment ne finisse jamais ou qu'il s'éternise un peu du moins il a avait plus d'un ans maintenant qu'ils vivaient et empreintaient route, Et pourtant elle ne c'était jamais lasser de le savoir près d'elle tout autant, qu'aucun de ses défaut ne la préoccupait... si elle arrivait à oublier les siens, ceux d'inwë n'était rien il n'en avait même pas...

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Il est vrai que par moment il se sentait distant… le fait est qu’il était d’ailleurs assez souvent distant, parfois un peu trop longtemps… trop absent et il s’en désolait mais il lui semblait que cette frêle déesse qu’il serrait dans ses bras avec autant d’amour et de douceur l’avait déjà compris depuis longtemps. Il lui était simple pourtant de répondre, ni un ni l’autre, puisque pour sa pars il ne s’égalait nullement, se confrontant a tout ce qu’elle pouvait être et ne pas être. Une poésie verbale qui lui était inutile en ce moment, mais dont il était empli.

Une étincelle de gaieté venait parcourir ses yeux dorés en voyant ses nuages noirs de tristesse se dissipé au dessus de sa tête, pour n’y plus laisser que les rayons doux et tiède d’un soleil tendre aux cotée d’une lune mielleuse.

Avant de pouvoir lancer une réelle réplique a cette réponse étrange il sourit comme il ne l’avait plus fait depuis déjà bien longtemps, parcourut d’un rire léger presque silencieux se permettant lui-même se court baisser sur sa joue avant de descendre a son cou et toujours ses lèvres tiède mais rosé se teintait de cet adorable sourire, ou se dévoilait ses canines démesuré.

- rien ne me déplait de ta voix comme de toi, mais ce n’était pas mon but premier. J’espérais plutôt attirer ton attention… Ais-je réussis ?

Il était difficile de croire qu’il avait échoué quand ses yeux clos, devant les verres luisant de ses lunettes, il profitait comme il le pouvait de cette chaleur si douce qu’elle émettait au son de sa voix comme à son toucher.

- C’est une triste journée a passé seul… ou devrais-je dire nuit?

Il est vrai que d’ici quelque heure, a minuit pile sonnerait les battements d’une église lointaine qui avait pour loi le temps. Une nouvelle journée, à l’aube d’une nuit…au déclin des grandes lueurs étoilées mais la lueur de la lune luminescente, sans oublié la forte pluie qui brouillait les chemins de nuages d’eau.

Au soin des bras qui l’entourait si bien que demandé de plus… elle le voyait heureux comment ne pas l’être aussi. Un joyeux frisson la parcouru…

- Croit-tu ??? Mon attention… Mais non voyons… Tu obtient beaucoup plus que mon attention en agissant ainsi… tu m’as en entier mon amour...

Il avait cette nuit au départ d’heure qui ne savait que s’épuiser, si par contre le soleil s’obstinait à vouloir se lever, elle invoquerait la lune pour qu’une éclipse ne trahisse la nuit qui les enveloppait pour un moment encore. Un léger sourire tendre sur se lèvre qui cherchait lentement celles de celui qui l’entourait affectueusement.

Elle se retourna vers Inwë elle ne desserra même pas le lien de ses bras autour d’elle… Prisonnière, elle avait la grâce d’adorer son geôlier, au son de ses respirations dans son cou elle rythmait les battements de son cœur comme on remet à l’heure une horloge qui perd les minutes précieuse qui fait de sa vie une importante croisade.

-Tu as bien raison, par contre je ne m’en soucis guerre je ne suis pas seul. Tu dois repartir peut-être…

La plus grande de ses libertés avait un prix… pour elle, lui en avait besoin pour vivre, elle ne le lui refuserait jamais et Inwë le savait depuis le plus lointain de ses souvenirs. Elle ne s’en faisait pas victime mais plutôt choyer de le trouver chaque fois avec la plus grande fête au fond du cœur.

Elle déposa un baiser sur chacune de ses paupières…

-Dit moi maintenant se que tu vois le yeux fermé ainsi…

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Êtes-ce ce fin frisson qui avait parcourut son dos ou ses paroles étrangement familière qui avait finit par le faire sourire encore une fois? Cette nuit était envahis de saveur, de fragrance de lointain souvenir. Comme il était doux de pouvoir la retenir dans ses bras, sans se soucier de quoi que se soit sinon d’elle. Si facile de se laisser atteindre par sa beauté par ses faits et gestes et de lui rendre se baiser qu’elle cherchait avidement en effleurant subtilement ses lèvres rouges.

Il n’avait nullement l’intention d’en repartir, et malgré ses nombreuses absences il s’avouait chérie de même, et peut-être s’il mettait de côté son orgueil vaincu a son tour, puisqu’il lui était impossible de penser a une quelconque souffrance a ses côtés… un parfais bonheur, n’êtes ce pas là, la description de sa vie en ce moment ?

- je n’en aie pas la moindre petite intention, je serais d’ailleurs trop cruel de te laisser seule à peine 365 jours après ta rencontre. Et je me sentirais mélancolique par ailleurs.

Quoi qu’elle eut put dire Inwë avait une mémoire phénoménale et comptait les jours comme un passe temps, les rencontres, les moments importants… et il n’en oubliait nullement les nombreuses, très nombreuses disputes idiotes et sans importance ou ils étaient tombé tout deux. Pas plus que cela… une année, et pourtant c’était bien non ? Mais dans la vie d’un immortel au cœur volé, brisé cent fois, froissé et meurtris… qu’en devenait-elle... Cette simple année ou il avait put vivre en paix, ou son cœur avait put reprendre un soupçon de vie et de bonheur pour effacer ses pleurs ? C’en devenait bien plus que des décennies, que des siècles, c’était l’équivalent d’une vie... une chose si précieuse qui a se jour brillait comme le plus miroitant des diamants, chatoyant de couleur d’ivresse et de douceur, percées de ses nombreuse étoiles ou ils passaient leurs nuits…

Et cette pensée plus claire que le cristal, s’emmêlait doucement au son de sa voie.

- j’y vois plus que tu ne pense…et même plus que des couleurs et des images.

Une grande chaleur remonta en elle la chaleur d’un amour immense qui l’engloutissait elle y était noyée et elle n’aurait pas voulu d’autre mort si cela avait été mortel… Ce n’était pas le cas lui laissant le loisir de s’y noyer encore et encore… Elle le regardait et comment détourné les yeux de se si doux visage qui la hantait au moindre moment de sa vit il avait le regard du soleil qui s’endort le visage n’était qu’un contraste blanc à se qu’il n’était pas…

Alors si c’était sa la vie si terrible de couple après un ans elle ne voulais plus de la vie ordinaire… Bon il n’y avait pas eu que les moments tendres mais tout les avait rendu plus fort l’un à l’autre… Elle bénissait aujourd’hui ses propres faiblesses d’antan!

-Déjà un ans (si se n’est pas une années bissextile XD), J’avais oublier… (Se qui est tout à fait faut en passant)

Une année, il n’y avait eu que ça ? Elle ne s’en serais pas douter n’était-il pas le moment de s’en souhaiter des millions d’autre toujours plus heureuse, plus belle, plus tendre. D’accord elle savait que c’était leurs anniversaire mais le plaisir était trop grand de se le faire rappeler par sont amour…

-Les yeux fermé…

Elle caressa son visage une main sur sa joue elle l’embrassa doucement sa rapprochant plus encore si cela était possible d’Inwë…

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

- non, toi oublié ? C’est impensable.

En cherchant peu profondément on trouvait mille raison de l’attachement de Inwë pour cette déesse sans oublier qu’elle fut la première personne qu’il eut rencontré sur Xâ, non pas la dernière c’était certain car il avait rencontré et entrevue un nombre incalculable de gens de toute race, de tout point de vue, de tout ... caractère. Et il s’avouait bien chanceux d’avoir été le premier à réussir à captiver l’essence même de cette grande déesse

- tu n’oserais tout de même pas me mentir, Amor ?

Ce n’était qu’un jeu, elle ne pouvait jamais tout comme lui réussir à mentir sans que les yeux de l’un ou e l’autre en le trahissent. Ses pupilles doré trop réel qui au moindre écartement devant Anako prenait rapidement une teinture orangé. Plus loyale à son amour qu’a lui-même…

- tu ne me crois pas ? Ferme les yeux. Je refuse de penser un instant que tu eus put oublier ma rencontre.

Si bien que ce baiser qu’elle lui donnait il lui semblait si jeune que vieux, comme un souvenir d’ici un an, d’ici des jours, des semaine, des mois… Une main blanche s’emmêlait à ses cheveux, et la tiédeur de sa peau s’amusait à caresser chacune de ses mèches comme un désir fou qui s’éternisait avec son plus grand plaisir. Et il sentait toujours avec cette même allégresse le cœur battant au fond de sa poitrine qui n’attendait que lui, sans en perdre le moindre battement qu’il eut put exercer.

Apposant sa tête contre la sienne, déplaçant négligemment cette mèche noire qui dissimulait son visage d’un blanc de lune il n’ouvrait toujours pas ses yeux doré, mais cette main voyageuse qui ne cessait de caresser ses cheveux avait pris possession de sa joue, comme du seuil d’une rivière, qui avait mainte fois versé les larmes de ses souffrances comme les siennes.

-Tu me connais plus que je ne me connais moi-même Inwë… Je ne peux te mentir! Bien sûre que je n’est rien oublier même si je m’y efforçait jusqu’à ce que tu arrive…

En regardant au fin fond de ses yeux paradoxalement inégaux on voyait une flamme naître elle la consumait lentement ramenant la chaleur qui manquait à ces deux corps, il avait plus qu’une vérité la seule qui n’eut jamais exister… La vérité d’un amour éternelle qui durerais bien plus qu’une éternité, plus loin que le monde de Xâ ce berceaux si tendre qui avait vue naître pour la première fois cette amour… C’est ces profondes certitudes que l’on dit sans y croire… Mais pas cette fois il y avait plus qu’un amour entre eu.

-Au mais je te crois… Et ta rencontre… fut … elle ne fut rien du tout…

Au fond des ténèbre ou tout deux avait élu domicile l’un contre l’autre si présent que rien d’autre en réalité n’aurais eu le droit d’exister la flamme de ses moment avait l’intensité de millions de soleil.

-Elle fut tout!

Elle ne le rassurais pas autant qu’elle ne se assurait, et ne pouvait plus se tourmenter à se demander de se qu’elle serais devenue si se soir là dans les catacombes elle n’avait reçu se cri de détresse si lourd d’une peine qui était d’aussi égale à la sienne que serait-elle si lui… Était-ce seulement des coïncidences?

Elle laissa la salle se voilé derrière le rideau de ses paupière pour le plaisir de répondre à a demande de son amour, il n’y avait pas de plus bonheur que de se laisser bercé par sa voix son corps se bras et ses mots indéfinissable. Il était tout deux aveugles, aveugle d’amour sans doute. Là tout deux pendu l’un a l’autre au regard de la lune et des quelques étoiles qui les surprenait au détoure de la brunante…

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

- tu me flatte.

Avait-elle dont eu peur qu’il ne vienne pas pour se départir de se souvenir ? C’était pourtant la plus saugrenue de toutes ses rencontres… douloureuse mais charmeuse… et rapidement ce charme avait pris le dessus…elle eut à peine fermé les yeux qu’il le sentit, si s’aurait été possible il l’aurait serré plus encore contre lui. Aussi entonnait-il une chanson, si basse qu’on ne put l’entendre, en murmure de rêve fantastique et en farandoles de rimes extravagantes mais romantique. Sans en oublier cette pointe dramatique dont il ne pouvait se départir a son malheur. Mais si près qu’elle était, lui-même pencher a son cou, elle ne put en échapper le moindre mot. Une mélodie qui se rapprochait pas à pas de celle d’une valse… d’une danse quelconque qui lui importait peu. Il avait les idées ailleurs… il en pensait pas a ses paroles il les laissait penser d’eux même, se former de rimes et comme s’il n’eut rien été les laisser s’écouler dans le murmure de cette nuit folle.

Aussi l’entrainât-il sur un pas de danse, ou il lui était interdit de rouvrir les yeux ! Un délire peut-être… mais il s’amusait bien à le faire devenir réalité, quand mille fois dans ces courtes minutes il n’eut cessé d’introduire les mêmes mots, a tout moment à toute occasion, un je t’aime furtif qui s’évadait de sa prison.

- j’ai un présent pour toi, j’espère que tu l’aimeras.

C’était effectivement une soirée mémorable, en ce moment il gardait en souvenir que c’était comme un anniversaire, une fête qui célébrait une année si vite passé, mais il était peut-être trop avare pour en souhaiter que cela.

- Mais j’hésite à te le donner… tu pourrais refuser et j’en serais surement éternellement peiné…

Tout comme elle avait peur d’un rien le concernant il avait crainte qu’elle refuse son présent. Et pourtant il n’avait certainement rien à perdre à essayer il avait rouvert ses yeux laissant plané une étrange idée sur son visage, si se présent n’était pas si important il n’aurait pas peur de son refus. Si bien qu’il aurait aimé qu’elle le devine, ses douces paroles de chansonnier avait disparut se fondant dans un silence noir ou il n’arrêtait pourtant pas de danser avant le dernier pas. Quel étrange endroit par ailleurs pour danser… et pourtant le combat en était une forme… plus douloureuse amis qui demandait autant d’habilité. [/size]

[size=12]- je serait idiot de ne pas me laisser tenter... n'as tu rien pour me rassurer ?

ne serais-ce la qu'un simple baiser il en serait combler.

Une chose était certaine si elle avait fait exprès d’oublier plus jamais elle ne le ferais même les yeux fermé elle avait sentit une pulsion de tristesse de remord elle n’en voulais pas dans ses yeux… Elle ne voyait rien, mais tout dans ces pas de danse captivait ses sens tout autant que le souffle tendre et tranquille de son amour dans son cou.

-Un présent? Mais…

Une surprise plus grande que celle d’être avec lui en cet instant ne devait sûrement pas exister, il n’y avait que sa voix qui résonnait encore et encore de ses craintes de ses angoisses sourdes. Elle ne le refuserait jamais… La première elle ouvrit les yeux, se n’est pas que le sort si magnifique qui les envoûtait était briser bien au contraire…

-Inwë?

Bien des questions se suivait dans sa tête aucune n’avait réellement de sens aucune n’avait de réponse qu’elle pouvait trouvé seule.

-Quoi que se soit mon amour il n’y a rien que je ne puis rien te refuser si se n’est de ma vie qui tu le sais depuis fort longtemps t’appartient déjà… Je ne m’appartient plus et j’en suis heureuse…

Une envie sourde de l’embrassé lui vint un besoin qui ne s’expliquait pas ce ne fut qu’un baiser sur son front, un sur sa joue pour venir s’échouer sur les lèvres qu’elle n’arrivait plus à éloigner des sienne désormais peu importe se présent qui émettait plus de craintes que de plaisirs

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Si un présent, il lui en offrait peut-être peu, mais aussi était-il toujours provoqué par une image romanesque, par des idées qui ne saurait se raconter enivrer par un arome dont il ne se lassait jamais. Et toujours il se sentait heureux de lui offrir, la moindre parcelle rappelant son amour éternelle. Masi qu’est ce qui était le plus idiot ? Ne pas l’avoir donné avant, l’avoir rêve avant d’y penser, ou penser avant d’y rêver… tarder à l’offrir, attendre de le voir se découvrir sans même qu’il n’eut à le montrer. Le plus grand des rêves, comme de la plus brulante des passions, il s’en souvenait sans encombre, se trouvait dans l’absence de tout, sinon de nous, de soi come d’elle ou de lui, et … car il y avait une petite exception, dans le désir parfait d’une chose, si intensément petite et incompréhensible soit-elle. Masi il passait des heures à s’éterniser sur un tel sujet, des nuits et des soirées à observer silencieux ses pensées qui s’exaltaient pour un tel sujet.

Il se ramenât a la réalité loin de là a l’entente de son nom comme a la voix de sa muse mais n’y fit rien sinon un sourire pale en contraste de ses lèvres rouge.

- C’est bête a dire, puisque tu semble vivre en moi et vice-versa.

Quand seul l’on pensait a soit, quand le cœur n’avait d’autre amour que le sien. Qu’advenait-il des nuits sombre et froide qui fessait trembler ses mains ?
Absolument rien.
Mais quand le cœur s’arrachait, innocent et imprévisible, se mettait à voler vers l’invisible.
Parcourir des frontières impossibles à voir, pour retrouver une âme, reflet de son miroir.
Le cœur volé, il ne se mettait plus à penser, sinon a l’être aimer….

Et dire que se poème sortait de nulle part, d’un vide parfait, en contre partie de ses origines discrète il l’aimait bien… il sonnait bien… il dispersait la vérité de ses actuelles pensées qui bien entendu, se disputait pour la regarder, pour l’admirer, cette déesse du jour qui dans les bras d’un être nocturne, se laissait diriger pas les pas de danse, envouter par chaque parole qu’il eut put prononcer et a son tour il agissait en miroir parfait a n’attendre que ses mots et ses lèvres.

Dans se long baiser qui n’avait que peine à s’y retrouver, il retrouva la caresse de sa peau, et ses doigts fin effleurait sa joue, jusqu'à en prendre pleine possession avec la plus grande tendresse. Retirant de ses lèvres le gout si doux des sienne, empreint de chaleur ses yeux dorés ne tardèrent a s’exprimer par eux même dans l’éclat de la salle endormit, éteint de tout lumière et dans le bruit silencieux, de ce jours pluvieux.

- très bien, mais sachez qu’une seule de vos paroles m’aurait déjà suffit. Lui répondit-il, sans perdre l’émotion attacher a ses trait et retenu par un sourire si fin mais heureux.

Il perdit le contact de sa joue, quand sa main découvrit l’éclat doré d’un autre métal, elle put en voir toute la splendeur, dans un anneau d’or parlé de ce qu’elle appelait l’amour avec le plus grand soie, déposé dans sa main, sous une toile de blanc satin, de quoi en faire ressortir toute la pureté de se sentiment.

- si s’aurait put être, j’aurais ternit l’éclat de mes yeux pour le forger moi-même mais il m’en fut impossible. J’espère simplement qu’il vous plairait tout autant qu’a moi.

Ses mot sonnait comme un appelle au rêve une en voilé de mots qui lui donnait des ailles. C’est histoire au milles flots de poésie qui gravait leurs significations en musique d’une langue qui redirait sans exception chacun d’eux. De poussière il naissait dans sa bouche. Comme elle seul ils ne sont rien mais au-delà des phrases il charpentait le sens de bien plus que leurs sons du moment… La vérité se cristallisait dans ses paroles d’un cœur qui n’était plus qu’une symphonie à naître.

Un sourire se détacha d’elle. Une lumière vive de se sentir aimer une lumière que la lune rendait plus vivante encore! Il y avait de ses instant merveilleux au centre de cette vie lumineuse que la vue même en arrive à se rendre aveugle et ou les son d’un amour profond rendait la vie sourde. Il n’y avait qu’eux… Il n’y aurait jamais qu’eux

Une froide petite chose toucha sa main, était-ce cela la surprise que Inwë avait si peur de lui offrir? Avec la plus grande lenteur qui se put elle ouvrit les doigts sur un anneau magnifique. Un objet si petit mais aussi beau était étrange à contempler l’or ciseler avec tant de soin avait un magnétise puissant. Il aurait voulu le forger de ses yeux… il ne le pouvait pas… Il conserverait en lui la flamme qu’elle lui aimait tant comme le plus parfait des regard poser sur elle avec amour.

Elle mots ne vinrent pas d’eux même et l’écarlate lui, lui vint par conter très facilement elle fixait toujours la petit chose ne sachant trop quoi en pensé, un cadeau, un bijoux, une demande? Une chose était certaine le ravissement lui enlevais tous ses mots elle ne prononçait plus une syllabe et pourtant tant et tant elle aurait à dire. La petite chose au doigt elle aurait le regard de son amour auprès d’elle une flamme vive et pure autant que leur amours pouvait l’être elle le portait déjà avec la plus grande des joies. Doucement elle leva les yeux pour rencontrer ceux de Inwë toujours poser sur elle, elle lui sourit un sourire heureux presque bête tellement il était simple.

Black Star of Hope - Nombre de messages : 111 Date d'inscription : 29/11/2005

Une si petite chose en venait à faire rougir les pensées de sa muse adorée, mais une si petite chose n’était pas pourtant démuni de sens et de beauté, car il incarnait a la fois ce cadeau qu’il lui offrait, ce bijou qui lui manquait, et cette demande que tout deux attendaient. Puisque le voila lancé, le cœur ouvert devant la simplicité d’un si bel acte et sa muse qui souriait sa muse qui soudainement rougissait, il se devait en toute sérénité de continuer.

Il s’inclinait devant sa beauté, sa cape frôlait le sol mais ses yeux pour autant s’accrochaient à elle. Un genou au sol il se mit lentement à répéter ce que mainte fois son esprit lui avait chanté chaque heure de jour, dicté chaque heure de nuit à l’image d’une délicate égérie.]

je ne vous demanderez jamais plus que vous ne pourrez m’offrir, mais j’oserais demander cette nuit votre main À l’espoir qu’en tout temps vous puissiez me voir dans le reflet de votre alliance.

Qu’allait-elle lui répondre ? Allait-elle simplement le faire ? Certainement, n’avait-il pas besoin encore de son réconfort, son courage se fessait si pâle qu’il en semblait frêle et naïf mais il ne pouvait avoir tort de dévoiler un sentiment empli de vérité partagé

Un homme une genou en terre, tel les tableau simple qui rappelle a tous la beauté du monde. L'amour, le sien , comme jamais elle n'avais rêvé que cela puisse arrivé, trop certaine de l'emprise de la liberté sur le cœur de son aimé. Un genou en terre comme l'homme qui prête serment au roi, le chevalier qui donnera ca vie, pour un pays telle le guerrier. Un homme genou en terre petit devant toute les question du monde tel le sage et un homme tout simplement devant la femme qu'il aime comme le pauvre qui ne l'ai plus.

"je ne vous demanderez jamais plus que vous ne pourrez m’offrir, mais j’oserais demander cette nuit votre main À l’espoir qu’en tout temps vous puissiez me voir dans le reflet de votre alliance. "

La demande d'Iinwë rendit son corps frillable, trop fragile sans support pour rester debout ainsi alors que le monde était a ses pieds, parce qu'il n'y avait plus a redire le monde était un homme au yeux d'or qui tenait sa main et ses rêves les plus fous au creux de la sienne.Elle tombait a genou a son tour Et comme si le soleil éclairait le visage de ce même homme, elle venait de voir en lui les jours qui lui restait à vivre aussi nombreux étaient-ils. Elle voyait la promesse certaine de tous ses retour et encore bien au delà elle ne voyait plus comme jadis le passé trôner au milieu des iris doré, mais l'avenir.

- Au Inwë seulement une main? Je deviendrai une de ses déesse d'un autre monde, Shiva cette femme a 6 bras, alors 6 mains et encore elle seront toutes a toi. Je t'offre se soir ma vie sans partage ma main parce que tu n'as demandé que ca et... et... une promesse d'un bonheure future.

La crainte d'une muette réponse avait fait dire à anako plus de sottise qu'elle n'aurais voulu. Elle l'aimait tant, et maintenant vraiment son bonheur était complet. Elle avait toujours autant de couleur. D'excitation, de joi, de... peur aussi.

- M. Inwë millis Armanus, j'ai moi aussi un cadeau pour vous.

Solonel plus qu'elle ne l'avais souhaité au départ, elle avait en elle la peur profonde qu'il reprenne ses voeux aussitot que les mot qu'elle allait prononcé franchiraient ses lèvres. La peur accélérait les battements du coeur de la déesse.

-Malheureusement mon cadeau vient avec une grande requête, et l'un ne peux aller sans l'autre.

E